Ils ont aiguisé leurs archers comme le couteau des bouchersIls ont éventré le piano en prétextant qu'il était fauxIls ont banalisé les flûtes et les flûteaux des alentoursEn renfort d'une dernière minute, ils ont pris l'éclaireau du bourgPom pom pom pom pom pom pom pom pomÇa va faire du bruit dans l'invernoIls ont arraché le clavecin aux araignées de la mairieQue sans doute une pieuse main avait entorté de bougiesIls se sont mis en bras de chemise comme pour égorger le vauglasEt dans la comtesse fut assise l'étrange concert des marinsUn, deux, troisTa kararakatapapaelle est tranquille, ta petite petitepapaparaparararapfactIl rigoli, il égogo, il éregololololololololololaOn a-a-a-a-a-a assassiné Pop-ZaPuis on l'a rivité sur placeEt comme chacun voulait sa partOn dut séparer les rapacesOn dut séparer les rapacesOn dut séparer les rapacesCe fut une longue agonieMais lorsqu'il fut trop assoifféIl laisser Mozart sur son litAu profit du bar d'à côtéPuis il redit les yeux brillantsAvec l'idée d'en finir vitalEn tombant sur les pupitresUne fuite de notes de 200Pompom-pompom-pompompompomQuand on y va, t'es presque minuitPas l'heure est couillèreBlasphèmeCe n'était plus même un blasphèmeC'était la curée lalaliLalalalali lalalalalalaOh-oh-oh-oh-oh-ohOuille-ouille-ouille-ouilleOuille-ouille-ouille-ouilleOuille-ouille-ouille-ouillePompom-pompom-pompom-pompomOuille-ouille-ouille-ouille-ouilleAllez, c'est terminéQuand, enfin, ils détiennent leurs armesEt remballèrent leurs crincrinsLe chef cria d'une voix de gendarmeSamedi, ce sera le tour à ChopinPompom-pompom-pompom-pompomPompom-pompom-pompom-pompomPauvre ChopinPompom-pompom-pompom-pompom