Nhạc sĩ: Georges Bizet
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Au fond du temple serein, paris de fleurs et d'or,Une femme en colère croit la voix d'un con.La foule profère rire, la regarde est omine,Et murmurent en bas, « Voyez, c'est la DieusseQui dans l'ombre se dresse et vers nous tend les bras.Son voile se soulève, vos visions, vos rêves,La foule est à genoux.Il s'avère, c'est la Dieusse, qui s'avère dans le monde,Il s'avère, c'est la Dieusse, qui désire à Paris d'or.Son voile se soulève, et la foule tend le bras.Mais à travers la foule, elle s'ouvre un passage,Son l'enfoiré, déjà, nous cache son visage.En regard, hélas, la cherche enfin.Elle fuit, elle fuit.La foule s'envole, elle s'ouvre un passage,Son l'enfoiré, déjà, nous cache son visage.La foule s'envole, elle s'ouvre un passage,Son l'enfoiré, déjà, nous cache son visage.Je n'en peux rester, je n'en peux rester à vie.Il s'avère, c'est la Dieusse, qui désire à Paris d'or.La foule s'envole, elle s'ouvre un passage,Son l'enfoiré, déjà, nous cache son visage.Il s'avère, c'est la Dieusse, qui désire à Paris d'or.Une partageante des dessins, son destin jusqu'à la mort.Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org