Je ne sais pas où je vais, ni vers quoi je vais
Mais j'avance tout droit, toujours tout droit
Et je reprends mon souffle mais je continue la course
Sans écouter ces voix qui veulent me retenir
Je n'arrêterai que devant l'océan, devant l'océan
Infini, cent fois plus grand que moi, cent fois plus grand que nous
Rien n'est plus réel que les reflets du sel
Argenté de perles qui brillent et ruissellent sur ma peau
Je sens, sens comme elle est belle, là-bas la vie qui m'appelle
Et ouvre ses bras, devant le vide et le ciel
Dans mon dos s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois
Et as-so-着
Où moi quand je me perds ?
Où moi quand je me mens, quand je ne suis plus sûre ?
De comprendre mon propre cœur
Je vais me chercher ailleurs
La chute n'est que meilleure
Quand on prend goût à l'inconnu
Oui j'ai choisi le bleu
Le bleu du ciel ou de l'océan
Qui t'a erré à l'infini
Sans temps de solitude, sans plus de certitude
Rien n'est plus réel
Que faire danser mes ailes de plumes ou de perles
Qui brillent et ruissellent dans les ombres
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas, la vie qui m'appelle
Et ouvre ses bras
Devant le vide et le ciel
Dans mon dos s'ouvrent mes ailes
Et je compte jusqu'à trois
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Saut
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Saut
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Je sens, sens comme elle est belle
Je sens, sens comme elle est belle
Là-bas, la vie qui m'appelle
Là-bas, la vie qui m'appelle et ouvre ses bras.
Devant le vide et le ciel, tantôt s'ouvrent mes ailes et je compte jusqu'à trois.
Sous-titres par Jérémy Diaz