Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
A tourmenter la nuit,
les vents là-haut,
Les ciels poudreux d'étoiles brûlées,
Où s'emparent-ce temps mes pères et mères,
Ma famille que jamais je ne revois,
Et les visages peints de mes croyances.
J'aire dans la ville sans être heureux,
Par rues et rafales sans hâte de dormir,
Où s'enclaudent nos fiancées promises,
Les tembelles de l'album aux légendes,
Isabelle, Nicolet, ma folie pour en mourir.
À la borne oubliée des rendez-vous,
Nous avons pris couleur des attelages,
La vie s'en va,
s'en va, la vie s'en va, Comme le sol se dérobe.
A
tourmenter la nuit,
les vents là-haut,
Les ciels poudreux d'étoiles brûlées,
Où s'emparent-ce temps mes pères et mères,
Ma famille que jamais je ne revois,
Et les visages peints de mes croyances.
À la borne oubliée des rendez-vous,
Nous avons pris couleur des attelages,
La vie s'en va,
s'en va,
la vie s'en va,
Comme le sol se dérobe.
La vie s'en va,
s'en va, la vie s'en va,
Comme le sol se dérobe.
Ma tête est mille fois moins
Que la tête d'une épingle,
C'est en elle pourtant
Que danse la terre.
Ma tête est mille fois moins Que la tête d'une épingle,
C'est en elle pourtant
Que danse la terre
La tête est mille fois moins Que la tête d'une épée
C'est en elle pourtant
Que danse la terre
La tête est mille fois moins
Que la tête d'une épée
C'est en elle pourtant Que danse la terre
La tête est mille fois moins Que la tête d'une épée
C'est en elle pourtant
Que danse la terre
La tête est mille fois moins Que la tête d'une épée
C'est en elle pourtant Que danse la terre