Tant qu'elle a besoin du matou,
Ma chatte est tendre comme tout.
Quand elle est comblée aussitôt,
Elle griffe, elle mord, elle fait le gros dos.
Quand vous ne nous les caressez,
Pas chérif, vous nous les cassez,
Oubliez les cifres, ce peut
Qu'elle se repose,
quand vous ne nous les dorlotez pas,
Vous nous les passez à tabac,
Oubliez les cifres,
ce peut
Qu'elle se repose un peu,
qu'elle se repose.
Énamourée,
ma femme est douce,
Mes amis vous le diront tous,
Après les treintes, en moins de deux,
R2,
vient un bâton merdeux.
Quand vous ne nous les caressez,
Pas chérif,
vous nous les cassez,
Oubliez les cifres,
ce peut Qu'elle se repose,
quand vous ne nous les dorlotez pas,
Vous nous les passez à tabac,
Oubliez les cifres,
ce peut
Qu'elle se repose un peu,
qu'elle se repose.
Dans l'alcove, on est bien reçu,
Par la voisine du dessus,
Une fois son désir assouvi,
Un gratte, elle nous les crucifie.
Quand vous ne nous les caressez,
Pas chérif,
vous nous les cassez,
Oubliez les cifres,
ce peut Qu'elle se repose,
quand vous ne nous les dorlotez pas,
Vous nous les passez à tabac,
Oubliez les cifres,
ce peut
Qu'elle se repose un peu,
qu'elle se repose.
Quand elle passe en revue,
Les oives, ma sœur, est caline et suave,
Dès que s'achève l'examen,
Gara qui tombe sous sa main.
Quand vous ne nous les caressez,
Pas chérif,
vous nous les cassez,
Oubliez les cifres,
ce peut Qu'elle se repose,
quand vous ne nous les
dorlotez pas,
Vous nous les passez à tabac,
Oubliez les cifres,
ce peut Qu'elle se repose
un peu,
qu'elle se repose.
Si tout le monde en ma maison Reste au lit plus que de raison,
C'est pas qu'on soit lubrique,
C'est qu'il y a guerre, que là, qu'on
est tranquille.
Quand vous ne nous les caressez,
Pas chérif,
vous nous les cassez,
Oubliez les cifres,
ce peut Qu'elle se repose,
quand vous ne nous les
dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac,
Oubliez les cifres, ce peut
Qu'elle se repose un peu,
qu'elle se repose.