Je m'appelle OctaveAu bout de la semaine, moi qui aimais tant voir couler le sang, de voir couler la scèneOn nous redoutait comme le feu, comme la pesteDe Sébastopol à Magenta à PalestoComme un mâc-mâon, je suis parti, j'y suis, j'y restePour en arriver finalement à...Que d'eau, que d'eauAu printemps le fleuve me met à l'épreuveComme si les frémas ne suffisaient pas, il faut encore qu'il pleuveEt il monte, monte, selon mastodonteJ'affrontais le front, c'est un affront à présent que j'affronteCar j'ai de la flotte jusqu'à la culotteJusqu'au gros colon, jusqu'au galon, parfois jusqu'à la glotteMoi qu'on put connaître, soif et fier de l'êtreIl y a des moments maintenant où j'en ai parléSi la tête, on nous redoutait comme le feu, comme la pesteDe Sébastopol à Magenta à PalestoComme un mâc-mâon, je suis parti, j'y suis, j'y restePour en arriver finalement à...Que d'eau, que d'eauJe m'appelle Octavio, j'y suis, j'y resteEt je fais le zouaveSur ce pont d'année où chaque année je sens que mon cas s'aggraveDans mes jambes ça bouge, j'ai des fourmis rougesUn jour je vais me tirer, faire une virée, je vais prendre un bateau moucheDirection le septième, le régiment que j'aimeEncore des beaux jours pour les tambours et pour les chrysanthèmesParait qu'il y a une chouette, guéguerre qui vous guetteÇa sent le crime et les vieux de crime, ils ne seraient pas de la fêteOctavio !À mon commandement, ligne de section 23En avant, marche !Une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deuxÇa sent bienUne, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux, une, deux.Sous-titrage ST' 501