J'ai mes lunettes infrarouges sur le nezJ'perçois tout mais rien n'est coloréJ'comprends l'effort sans m'y attarderEt la délicatesse de la brume me plaîtEn vrai j'sais pas trop où j'vaisTout me vient en vrac, j'devraisTrier peut-être, tirer l'alarmeJ'essaie d'oublier, m'concentrerRegarder où j'vais avant d'y allerOuais c'est c'qu'on me *** maisJ'suis pas bien sûr d'en capter l'intérêtJ'suis pas bien sûr d'en capter l'intérêtJ'suis pas bien sûrCes mouvements, ces cheveuxLes larmes tournentIl est faibrile, il est trop nerveuxEt pourtant, il y a ce feuCes doux moments, pas de passéAu fond d'un pieuOn aime se perdre, GPS dans la pocheConnaître personneRouler des cartons, des cartes de visitesQu'on nous donneEntrer des liens en réseau d'inconnusOn rédige des statutsStatiques comme des statuesOn s'*** qu'ça tue et qu'au pireSi on sature de nos stupides satiresOn peut toujours se tirerLa belle fuite, tu saisCelle pleine de suites dans les idéesLogique, carréÀ contre carré, nos carences par quartierPas A plus B au carréCarrément réfléchiSouple et fléchieAffranchie des flègres qui nous assouplissentDes fleursC'est trop longQuand c'est mieuxC'est bien plus rassurantSi c'est pas trop vertigineuxEt pourtant, il y a ce feuPour brasser du ventSix pieds sous terreDes flammes dans les yeuxHouHouHouHouHouHouHouHouHouHouSous-titrage ST' 501Sous-titrage ST' 501Sous-titrage ST' 501