Oui bon je rentre à la maisonAvec tes trois fleurs sur le cœurQui ne sont même pas de roseC'est vraiLes dernières que je t'ai offertesC'était il y a six ans cinquanteQu'est-ce que je *** six ans et demiPar une après-midi en penteQui donnaitDans un petit litUne vie déserteC'est vraiOn s'aimait tantQuand on y penseAujourd'hui on vit en silenceOn s'aimait tantOn s'aimait tantOn a parfoisLe cœur ouvertEt puisOn éteint la lumièreEt au lieu de te dire je t'aimeJe parle de mes problèmesIls ont mis trois types à la porteIl y a des chances que je m'en sorteEt tu m'écoutes inquiété douceComme il est loin le temps des nocesComme la campagne rousseSur le calendrier des postesC'est moi, ce n'est pas toi qui changeLorsqu'entre nous passent des angesEt c'est la faute de mon regardSi tu t'aides à robes au miroirQuand tu déshabilles le soirQuand tu déshabilles le soirQuand tu déshabilles le soirTon corps si sainEst beau à voirC'est vraiLa dernière fois de la tendresseJe n'ai pas été très artisteC'était comme si dans ce grand litJ'avais égaré ton adresseTu sais, moi aussi j'étais tristeC'est vraiC'est vraiMais en cherchant dans la fenêtrePeut-être en mettant une annonceOn peut retrouver la réponseAu mot perdu comme je t'aimeQu'est-ce que je *** ?Je ***Je t'aime