Musique douce...Lentement, le long des îlesSouffle le vent, roulent les flotsGlissent les barques agilesDe rasile et s'émate l'eauSur le poste, un calme asileBattent les coeurs, parlent les voixTiens sa belle, douce et fineTendrement, au creux de ses doigtsLa, la, la, la, la, la, la, laLa, la, la, la, la, la, la, la, laPas de femme en notre cercleSerrent les poings, montent les crisLa colombe a soumis l'aigleLe marin n'est plus qu'un mariMais rasile reste calmeGrincer les dents, hausser le tonRien ne peut changer mon âmeNi l'amour, ni la rébellionLa, la, la, la, la, la, la, la, laLa, la, la, la, la, la, la, la, laLe vent de ses mains puissantesPleurent les joies, crèvent l'espoirSon aîné fait les tremblantesIl la jette dans les eaux noiresPuis il ***, parlant aux fleursVolga de mort, volga de vieVolga prend mes amours heureuxPour toujours au fond de ton litMes amis, chantez que DiableEt vers 20 jusqu'à la vieJusqu'à rouler sous la tableJusqu'à demain, jusqu'à l'oubliAprès toutLa vie n'est qu'un lamentN'est même qu'un vieux passageL'amour que souvent on pleureN'est rien de plus qu'un mirageFaut vivre l'heure pour l'heureProfitons de ce voyageQui ne dure pasLa, la, la, la, la, la, la, laAu fond de nos veinesIl y a l'oubli du temps qui passeLe vin et l'ami sincèreS'en remènent à l'angoisseAujourd'hui fleur, misèreDemain fera volte-faceEt tout changeraLentement, le long des îlesSouffle le vent, brûlent les flotsGlissent les barques agilesDe Régine et ses matelotsLa, la, la, la, la, la, la, laLa, la, Régine et ses matelots