Panambi vera.
Panambi.
Čera perame,
riseva a rįģero ku.
Ndepe po kwarali ame,
tamora e a nijo tu.
J'aurais voulu connaître un peu le grand frisson,
être amoureux.
Percher sur les bords du Bosphore,
y contempler la mosquée bleue.
Avant de me tirer au sort,
j'aurais aimé goûter un peu
à la saveur qu'ont les romans de ceux qui partent un beau matin.
Les voyageurs,
tous les marins,
que n'effleurent jamais les regrets.
Le jour se lève
en file indienne, la ville est moche,
par choc contre par choc.
Où sont mes rêves,
le chant des sirènes,
la ville est moche, plus le capitaine adore.
Mais je m'en veux,
je vous l'avoue,
de n'avoir pas jamais osé.
Franchir la ligne bien tracée d'un petit monde bien rangé.
De n'avoir pas tenté le coup d'être à l'évoi,
si nouméa.
Est aussi belle qu'on nous le ***,
de n'avoir pas senti la pluie.
Et l'air brissant toute la nuit,
aux berges de Maripas ou là.
Le jour se lève en file indienne,
la ville est moche, par choc contre par choc.
Où sont mes rêves,
le chant des sirènes,
la ville est moche,
plus le capitaine adore.
J'aurais aimé rien qu'une fois aller pêcher les poissons-chats.
Des poissons clowns ou bien d'avril,
des poissons lunes autour de l'île.
Ne paquer pas dans un bocal,
jouer un peu à la poupée russe.
Qui paraît-il s'ennuie l'hiver,
si loin les moiteurs tropicals.
Secouer enfin un peu mes puces sur les chemins pleins de poussière.
Le jour se lève
en file indienne,
la ville est moche, par choc contre par choc.
Où sont mes rêves,
le chant des sirènes,
la ville est moche, plus le capitaine adore.
Đang Cập Nhật
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