ramassent ? la pelle. Tu vois, je n'ai pas oubli?. Les feuilles mortes se ramassent ? la pelle,. Les souvenirs et les regrets aussi. Et le vent du nord les emporte. Dans la nuit froide de l'oubli. Tu
drame. Un triste m?lo. Une chambre d'h?tel. Le rire des filles, un piano. Je me souviens d'elle. De ses mots. Ecrits sur les fleurs du mal. Mon premier cadeau. Je vous abandonne. Je vous aimais
Les musiciens sortent leurs moustaches. Et leurs violons et leurs saxos. Et la polka se met en marche. Dans les jardins du casino. Oщ glandouillent en papotant. De vieilles vieilles qui ont la
vieux chвteaux forts. Bouffйs par les ronces - le gel et la mort. Un grand vent glacial fait grincer les dents. Monstre de mйtal qui va dйrivant. . J'voudrais travailler encore - travailler encore
drame. Un triste m?lo. Une chambre d'h?tel. Le rire des filles, un piano. Je me souviens d'elle. De ses mots. Ecrits sur les fleurs du mal. Mon premier cadeau. Je vous abandonne. Je vous aimais
appartiendront. Apr? S la derni? Re larme, la derni? Re chanson. . Le miroir bris? Emportant ma voix. La nuit tombe encore cruelle et tragique. Les n? Ons sanglants, notre d? Sarroi. Comme un soleil froid
yeux qui brillent des valses lentes. Tu vois dans leurs yeux des? Clairs de feux. B? Ton d? Chir? Par les barbel? S. Et de temps en temps du cristal de sang. Quand vas-tu mourir?. . Un enfant, avec
. Tomb? Par terre. Amour porno. Chacun sa peau. Je vends du spleen. Tu vends du jean. . Lentement je vois. Cet univers-l?. Glisser vers le froid. Le compte? Rebours. Dans l'air nucl? Aire. Les
du tempo. Alors la vague qui se balance. Se mit à frapper en cadence. Et les oiseaux qui étaient muets. Un à un se mirent à chanter. Ainsi est né dans lesviolonsdu vent le temps. Le temps, le temps
. Mais qui se souvient de tout? A. Travers? Par l'Equateur. Les grands vents soufflant du noro? T. J'ai nou? ? Mon poignet droit. Lembran? A do Senhor do Bonfim da Bahia. Da Bahia, da Bahia. . Aliz
descend? Downtown. . Cadenas sur les grilles, des familles d'en haut. La brume qui scintille au-dessus du ghetto. A Trensh Town? A bouge, t'arr? Te pas aux feux rouges. A Tivoli Garden, no good man
? San Salvador. Va voir la femme. Qui sait lire dans les yeux du sort. Aussi dans les flammes. Elle te dira des mots tr? S forts. Comme les tambours. Qui dansent sur la terre des morts. Juste avant
leito ? o mar. . Elle faisait Copacabana. Les vieux Allemands tristes. Et les marins saouls. Elle venait du Nord et croyait que la mis?re. Ici, c'?tait moins dur. Pendant que les grands