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Words...Words...Words...

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Leo Ferre

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Lời bài hát: Words...Words...Words...

Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650

Et quand il a rentré chaque année, les artistes,
j'avais sur le futur des mains de cordonniers,
chaussant les astres de mes poisons se mêlées,
la conscience dans le speeder,
je mets les voiles,
je déchargeais des tamboureaux de souvenirs,
nous étions une histoire, un avion, rien à dire.
Moi,
je prendrais la quatrième dimension pour trisser dans l'azur
mes jambes migratrices,
le mur instantané que je dresse à la Chine Mao,
c'était le nom de ce viking flamand,
le tissu esquimau vieillit beaucoup plus vite
des plaies sur des gravats du Chili à Santiago,
s'exténuait en équation de cicatrices,
le malade concret et l'interne distrait sont
allés boire un pot au café de la morgue,
des vieillards le chéquier à la main à la banque,
faisaient des virements de testicules abstraits,
l'embryon vaginé,
Dervish dans le manque.
Un pavot est venu l'asperger cette nuit,
mon berceau féodal et mes couilles gothiques,
défonnées,
d'étronions,
des tissus ajoutés,
fondés sous les sunlights de l'opéra comique,
la stand-up-roll prend du bidon et du gin-fizz,
la fièvre est descendue ce soir à Mexico,
ce parfum diapré dans la nuit des cigales,
dans une discothèque un ami des barreaux,
les fenêtres s'en vont de la gorge et du squal,
ça sent la perfection dans ces rues amputées,
Saint-Denis est un saint au derrière doublé,
la fièvre est descendue ce soir dans un bordel
et fallait voir comment ça soufflait dans la cale,
il y a partout des combordés d'oiseaux
comme des lettres cheminant en parchemin.
Nightingale,
ô chanson crevée à minuit trente,
j'ai le concile dans la main qui se lamente
devant le mur à faire un peu des oraisons,
la folie m'a tenu la main à sa culotte,
on y *** de la mer s'en allant pour de bon viens,
petit,
dévais-toi,
prends du large
et jouis,
je cède et par avant comme un zoom d'espérance,
que font-ils,
qui sont-ils,
ces gens qu'on tient à l'aise dans les ports,
au shopping,
au bordel,
à la messe,
et ces monges qu'on pourrait se carrer entre deux trains,
histoire de leur montrer qu'on
a du face à main,
ils ont voté,
ils voteront comme on prend un barbiturique et ils ont
mis la République au fond d'un vase à reposer,
les experts ont analysé ce qu'il y avait
au fond du vase,
il n'y avait rien qu'un peu de vase.
Et quand il a rentré chaque année,
les artistes,
j'avais sur le futur des mains de cordonniers,
chaussant les astres de mes peaux ensemêlées,
la conscience dans le speeder,
je mets les
voiles,
Shakespeare aussi était un terroriste,
Wurtz,
Wurtz,
Wurtz,
disait-il,
Videla,
en
français Budel,
trip,
en italien Budella,
trip,
en argentin,
allez-y voir,
Wurtz,
Wurtz,
Wurtz.
De quoi dégueuler !
De quoi dégueuler,
vraiment !

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