Je ne t'écris de Dieu ni sa puissance,
C'est à lui seul
t'en donner connaissance.
Tout destin est un deuil,
Tout espoir est un cri,
L'amour qu'on a dans l'œil,
Ivre de Jésus-Christ,
De cercles au cercueil,
D'encre
dans l'acre écrit.
Mes fidèles,
mes fiers,
et même Un peu farouches,
charmants, jeunes,
Donnant tous les cœurs après soi.
Frères humains
qui après nous vivez,
N'ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plutôt de vous, merci.
De notre mal personne ne s'en rit,
Mais priez Dieu que tous nous veuillent absoudre.
Je meurs de soif auprès de la fontaine,
Chaud comme feu,
et tremble dent à dent,
En mon pays suis-en terre lointaine,
Les imbrasiers frissonnent tout ardent.
Le temps a laissé son manteau De vent,
de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderies
De soleil luisant, clair et beau.
Être ou non être,
C'est la question.
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