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Bài hát weidmann do ca sĩ Jean Guidoni thuộc thể loại Pop. Tìm loi bai hat weidmann - Jean Guidoni ngay trên Nhaccuatui. Nghe bài hát Weidmann chất lượng cao 320 kbps lossless miễn phí.
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Lời bài hát: Weidmann

Nhạc sĩ: Astor Piazzolla | Lời: Pierre Philippe

Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650

Ne sens-tu pas coller sous le papier peint rose
Les visages oubliés de trop beaux assassins
Sur le journal jauni qui cale la fenêtre
Au fond du vieux placard et dans la cheminée
Allumant le feu qui les fera disparaître
Ne crains-tu pas les yeux brillants de ces damnés
Ne vois-tu pas au pli de leurs princes de
Galles Qu'ils furent bien plus que ce que disent
les journaux Et qu'il faut pouvoir être empereur à Pigalle
Pour finir en beauté aux mains de des fourneaux
Ils avaient des yeux trop doux,
des cheveux crantés en vagues
Ils portaient des chapeaux mous,
étaient bien trop gros ce bague
Ils rendaient dans les banlieues la justice expé***ive
Pour illustrer le milieu à la une de détective
Ils soulevaient le tricot des journalistes à l'épate
Qu'ils acceptaient de tuer à fond,
de dévoyer psychopathes
Mais moi qui suis sans contrat avec les gens d'isonnette
Je leur préfère les malfrats,
eux au moins sont des poètes
Comme autrefois je nais rêvant dans sa cellote
En découpant leur gueule d'ange au menton bleuï
Je revois étouffant les sanglots dans ma glotte
Les minables exploits de ces samouraïs
J'attends dans leur traction à l'entrée des artistes
Une danseuse nue dont ils ont fait le choix
Puis je suis à la trace de barres envilatrices
Le panache blafard de leur foulard de soie
A l'aube d'un matin de style impitoyable
On ne trouvera d'elle que des lambeaux de
chair Mais les adélambeaux de base indémaillable
Dans quelques terrains vagues de banlieues maraîchères
Les monstres vieux de velours,
bien sûr de meurtre introuvable
On les repère à Cherbourg,
sous d'obscures imperméables
Ou sur le port de Honfleur,
ou sur la jetée du Havre
L'enceinte aux vagues des fleurs,
en hommage aux chers cadavres
Mais ils ne sont pas en mer,
ils pleurnichent comme des gosses
Sur les genoux de leur mère,
qui tient un humble négoce
Près de Sainte-Mère-Église,
où ils furent des enfants sages
C'est les voisins qui le disent,
à l'intrans selon l'usage
Pour finir le récit,
il manque un bas de page
Tant mieux,
je ne saurais rien des humiliations De
ces faux voeux livrés aux arbousins en
ornage Échangeant un sandwich contre une confession
Je ne tremblerais pas comme ces femmes du
monde Identifiant sur le tout dernier Paris
soir
Tandis que se roie *** leur permanente blonde
L'entrepreneur danseur qu'elles aimèrent un soir
Je ne veux rien de plus qu'une place aux fenêtres
Entre les marronniers du boulevard à Aragaud
À l'heure où malfaisants tous les jours hésitent à
naître L'heure du godet de Rome et du dernier mégot
À l'heure où leurs yeux trop doux brusquement se font terribles
Où sur la blancheur des cous tombe la lame inflexible
À l'heure où les braves gens tout joyeux quittent la fête
Rassurés pour leur argent,
pensant que justice est faite
À l'heure où quelques passants,
braves dans la garde mobile
Trempent un mouchoir dans le sang,
en extase nécrophile
L'heure des fantasmagories où l'on peut avouer sans gêne
Que son héros favori se nomme...
Weidmann Eugène
Ils avaient des yeux trop doux,
des cheveux crantés en vagues Ils portaient des
chapeaux mous et de bien trop grosses bagues
Ils rendaient dans les banlieues la justice expé***ive
Pour illustrer le milieu à la une des tech-giveux
Ils soulevaient le dégoût des journalistes à
l'épat' Qu'ils les traitaient de tueurs fous,
de dévoyés psychopathes
Mais moi qui suis sans contrat,
avec les gens d'isolettes
Je leur préfère les malfrats,
et au moins sans des poètes
Ils portaient des chapeaux mous et de bien trop grosses bagues

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