Encore un jour qui passe où je survis Encore une nuit d'angoisse où je dévieJe m'accroche mais je tombe sur le poids des motsJe décroche car le bonheur sonne fauxEt si les gens me parlent et m'oublientLa nuit j'entends des voix qui se délientJe m'approche du bord et je vois le fondJ'ai des envies de videEt si je fais un pas de tropJe vais tomber sur le poids des motsMon âme à la dériveJ'étais perdue dans mes rêvesAvant que dans ma chambreJe rêve qu'ils sauraient me direQu'ils sauraient me direQu'il faut vivreVivreVivreVivreJe ne trouve plus la force de lutterPlus la force de résisterPlus la force de resterDe pleurerNon, non, non, non, non, nonJe tiens pour car il fautEt cette fois dans ma tête comme un échoEntre la vie, le vide et le chaosJe sais chez moi le bonheur sonne fortJe ne tiens plus debout, aide-moiEt si les gens s'en foutent, ne laissez pasSi ma conscience même ne reste pasAide-moiEt si je fais un pas de tropJe ne tiens plus debout, aide-moiJe vais tomber sous le poidsDes moments d'âme à la dériveJ'étais perdue dans mes rêvesAvant que dans ma chambreJe rêve qu'ils sauraient me direQu'ils sauraient me direQu'il faut vivreVivreVivreVivreJe ne trouve plus la force de lutterJe trouve plus la force de lutterPlus la force de résisterPlus la force de resterDe pleurerQuand vient la nuitJ'ai des envies de vivreJ'ai des envies de vivreJ'essaie de me défendrePas de garder l'espoir quand je les entends direQu'il faut répétir, qu'il faut vivre, vivre, vivre, vivreJe trouve plus la force de lutter, plus la force de résisterPlus la force de rester, de pleurerVivre, vivre, vivreVivre, vivre, vivre