ValentineEt comme elle prenait chaque jour la rue CustineJe pris le même chemin et puis je lui pris la mainJe lui pris tout, enfinElle avait de tout petits potonsValentine, ValentineElle avait de tout petits tétonsQue je tartais à tartonsTon, ton, ton, taineElle avait un tout petit mentonValentine, ValentineOutre ses petits potons, ses petits tétonsSon petit mentonElle était frisée comme un moutonElle n'était pas d'une grande intelligenceMais dans un plumard, ça n'a pas d'importanceQuand on a 18 ans, beaucoup, on n'en demande pas tantDu moment qu'on saitOn s'aime, on est contentElle n'avait pas non plus bon caractèreElle était jalouse et même autoritairePourtant j'en étais fouElle me plaisait beaucoup parce queSurtoutElle avait de tout petits potonsValentine, ValentineElle avait de tout petits potonsQue je tartais à tartonsTon, ton, ton, taineElle avait de tout petits mentonsValentine, ValentineOutre ses petits potons, ses petits tétonsSon petit mentonElle était frisée comme un moutonHier, sur le boulevard, je rencontre une grosse dameAvec deux grands pieds, une taille d'hippopotameUne taille d'hippopotameVivement, elle me saute au couMe crie, bonjour, mon loupJe lui ***, pardon, madameMais, mais qui êtes-vous ?Elle me répond, c'est moi, voyonsValentine, devant son double mentonSa triple poitrineJe pensais remplie des froidsCe qu'elle a changé ma foiDire, qu'autrefoisElle avait de tout petits potonsJe vous l'ai déjà ***, ValentineVous regardez maintenantJe sais pas, moi, on dirait des bateauxElle avait de tout petits tétonsVous regardez maintenantNon, vraiment, on peut pas ***cuter de ce machin-làC'est gênantElle avait un tout petit mentonElle en a un, deux, trois maintenantSes petits potons, ses petits tétonsSon petit mentonEh ben, qu'est-ce que vous voulez ?Oh, non, non, non, la pauvre petite mère ValentineVous savez, non, ça fait de la peine, vraimentÇa fait du chagrinAh oui