Sur le grand vaisseau de l'hiver, toi capitaine des croisières, tu vas enfin faire la guerre.Tu n'es pas plus heureux qu'hier, mais dans ton coin sombre et amer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer.Toi, brave homme, tu vas à l'usine, toute la semaine tu turpines, et ton tourne les bobines.Mais à force de les voir tourner, tu finiras par t'arrêter, tu n'es pas plus heureux qu'hier.Mais dans ton coin sombre et amer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'es qu'une larme dans la mer.Tu rentres le soir, il est huit heures, tu veux la prendre sur ton cœur, et lui parler avec douceur.Tu rêves déjà de Pacifique, non d'où en emprunter.Sans timbre et sans emballage plastique, tu es bien plus heureux qu'hier.Mais dans ton coin sombre et amer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Mais dans ton coin sombre et amer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'es qu'une larme dans la mer.Tu n'es qu'une larme dans la mer, tu n'as plus qu'à les laisser faire.Tu n'es qu'une arme dans la merTu n'as plus qu'à les laisser faireTu n'es qu'une arme dans la merSous-titres par Jérémy Diaz