On y va, papaïs !Vamos a cantar la canción del mexicanoEn el sombreroUn mexicain basanéEst allongé sur le solLe sombrero sur le nezEn guise, en guiseEn guise, en guiseEn guise, en guiseDe parasolIl n'est pas loin de midi, d'après le soleilC'est formidable aujourd'hui ce que j'y sommeilleL'existence est un problème en n'en plus finirChaque jour, chaque nuit c'est le mêmeIl vaut mieux dormirRien que trouver à mangerCe n'est pourtant là qu'un détailÇa suffirait à pousser un homme au travailAïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïeJ'ai une soif d'étonner, il faudrait trouverUn gars pour jouer un verre en trois coups de déJe ne vois que des pochers tout autour de moiEt d'ailleurs, ils ont l'air de tricherAussi bien que moiEt pourtant, j'ai le gosier comme du buvarDu buvar, ça m'arrangerait mouvrementS'il pouvait pleuvoirUn Mexicain basanéEst allongé sur le solDe sombrero sur le nezEn guise, en guise, en guise, en guise, en guiseEn guise, en guise, en guise, en guiseDe parasolVoici venir Cristobal, mon Dieu qu'il est fierC'est vrai qu'il n'est général que depuis hierQuand il aura terminé sa révolutionNous pourrons continuer tous les deuxLa conversationIl est mon meilleur ami, j'ai parié sur lui dix pesosEt s'il est battu, je n'ai plus qu'un ordi radiosOn voit partout des soldats courant dans les ruesSi vous ne vous garez pas, ils vous marchent dessusAïeEt le matin, quel boucan, sacré nom de nomCe qu'ils sont agaçants, énervantsAvec leurs canonsÇa devrait être interdit, un chahut pareil à midiQuand il y a des gens sapristis qui ont tant sommeilUn Mexicain basanéEst allongé sur le solDe sombrero sur le nezAnguise, anguiseAnguise, anguise, anguiseQuel sombreroAnguise, anguise, anguiseAllez coucherAnguise, anguise, anguiseAnguise, anguiseRespirez, respirezArrachez vos brasAïeJeu de parasolAïe