Un beau matin à la fraîche,
comme elle était fraîche,
vous pressez de travailler,
il est parti sur la route,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
avec son fusil chassé,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
il ne vit pas de riz ni de gris,
aïe la la, comme elle était fraîche,
ni faisant à ramener,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
mais il vit d'une mergère,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
avec ses moutons au pré,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
et le corps met la mergère,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
au pied d'un bel olivier,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
mais la ferme qu'est faire,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
il n'osait pas l'éveiller,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
il cueillit des violettes,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
et dans ses mains les placer,
aïe la la, qu'il faisait frisquer,
mais les fleurs étaient si fraîches,
aïe la la,
comme elle était fraîche,
que son
corps
s'est réveillé,
aïe la la,
qu'il faisait frisquer,
que son corps s'est réveillé,
aïe la la, qu'il faisait frisquer.