Deux, deux, deuxDeux, deux, deuxPour une heure j'aurais juréQue ce garçon m'aimaitMais après m'avoir embrasséIl me disait jamais je ne t'oublieraiMais le téléphone semble me dire à l'oreilleIl n'est pas libre, il n'est pas libreCe qu'il t'a promis, il l'avait donné la veilleIl n'est plus libre, il n'est plus libreEt tu y penseras à chaque fois que tu entendrasDeux, deux, deuxCe n'est pas libreCe n'est pas libre