Trop
de choix.
Trop
d'illages.
Trop
de sections.
De filtre.
Trop
de voix.
Trop
de messages.
Trop
de questions.
Trop de signes.
Mais quand tout te dévore, tu pars,
loin du volcan d'images,
qui te brûle, te noie.
Alors tu renais de la lave,
tu regrettes ton espace,
dans le vide et le silence.
Dans le monde flottant,
le cinéma se ment,
la vie ou le mirage,
des corps et des fictions.
Dans le monde flottant,
la vérité se fond,
dans les murs et les fantasmes,
des vies derrière l'écran.
Dans le monde flottant,
le cinéma se ment,
la vie ou le mirage,
des corps et des fictions.
Dans le monde flottant,
la vérité se fond,
dans les murs et les fantasmes,
des vies derrière l'écran.
Mais quand tout te dévore, tu pars,
loin du volcan d'images,
qui te brûle, te noie.
Alors tu renais de la lave,
tu regrettes ton espace dans le vide et le silence.
Quand Le Chaos en part, Décre de ta conscience.
Tu pars sauter ton âme dans l'air et la distance.
Retrouver la confiance, clair ni pâle ni noir.
Retrouver ta présence, sans le reflex de Clash.
Quand Le Caos en part, Décre de ta conscience.
Tu pars sauter ton âme,
dans l'Air et la Distance.
Retrouver la confiance, clair ni pâle ni noir.
Retrouver ta présence, sans le reflex de Clash.
Mais quand tu te dévores, tu pars
loin du vol quand tu marches
qui te brûle de noir
Alors tu remis de l'alcool, tu refais ton espace
dans le vide et le silence
Mais quand tu te dévores, tu pars
loin du vol quand tu marches
qui te brûle de noir Alors tu remis de l'alcool,
tu refais ton
espace dans le vide et le silence