J'avais jamais vu de nuit aussi calmeJe le regarde enchaîner les cigarettesSes larmes coulent en silence, on entend toujours les cigalesOn se blesserait même avec zéro mot, pourtant aucun mur sur cette terreNe pourrait tout faire, le cri de nos phéromones, on risque pas de tenir longtempsTu m'as même comparé à LuciferMaintenant tu bois et tu veux bien de moi, non mais j'hallucineJe sais déjà ce que la distance entraîne, ce c'est la guerre pendant dix ansSans trêve, ce je le quitte en lui disantGarde le sourire, plus rien n'est graveTant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâneNos deux corps pourraient mourir, j'ai déjà fait le deuilMaintenant par loin de moi, une larme cachée dans l'œilNotre histoire n'aurait jamais pu finirDans le calme et la tendresseJe te déteste comme cette phrase qui ***C'était trop beau pour être vraiJe n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraientJe te déteste comme cette phrase qui ***C'était trop beau pour être vraiC'était trop beau pour être vrai