Ouïouïe, ouïouïe,
c'est la mort.
C'est la mort.
La nuit,
quand la ville s'endort,
Le silence hante
nos consciences.
On cherche un peu,
un peu de réconfort
Sur les boulevards
de l'espérance.
Sa vie entière sur un quai de gare,
Attendre l'amour,
soir après soir.
C'est une histoire et c'est mon histoire.
Tout seul au monde.
Lentement,
la tension monte.
Y a comme un
frisson
qui m'envahit.
La solitude
traverse ma folie.
À trop vouloir l'âme, sœur,
On devient un peu trop rêveur.
C'est tout notre espoir qui chavire.
Soudain, on en veut voir le pire.
Il faut s
'accrocher et tout miser.
Ne rien laisser tomber.
Le fou de la raison.