C'est pas tant l'heure qui roule,
Bien plus les pendules qui nous détournent,
De nos paresses et de nos ivresses,
De quelques ratures et futiles mises en pièces,
Mais pour tout ce qu'on aura loupé,
Pour la beauté de leur courir après,
Pour nos peines perdues,
Pour s'être avouées vaincues par,
Quelques farouches sur la route,
Pour avoir cessé d'y croire juste un instant,
Et même si par hasard le temps,
Nous laisse encore quelques sentiments,
Et que nos tristes rêves,
S
'accrochent et se traînent,
Mais pour tout ce qu'on aura loupé,
Pour la beauté de leur courir après,
Pour nos peines perdues,
Pour s'être avouées vaincues par,
Quelques farouches sur la route,
Pour avoir cessé d'y croire juste un instant,