Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
Quand j'ai composé mon tour de chant, je me suis aperçu qu'on allait se quitter sans chanter toutes les chansons que vous avez aimées tout au long de ma carrière.Alors, pour ne pas qu'on soit frustrés, vous et moi, je vais aller prendre ma guitare, je vais m'asseoir près de vous, je vais chanter avec vous, vous allez chanter avec moi et je vais vous accompagner.Vous êtes d'accord ?Alors, pour ne pas qu'on soit frustrés, vous et moi, je vais aller prendre ma guitare, je vais m'asseoir près de vous, vous allez chanter avec moi et je vais vous accompagner.Oh guitare, guitare, ma guitare, ouvre-moi bien ton coeur. Chante, chante, guitare, sous mes doigts fais chante le bonheur.Si j'ai mis dans ton coeur un dalout, trop de soupirs à ton goût, j'assoie les sangles superflues, on n'en parle jamais plus.***-moi des choses folles, au-delà des paroles, que ma bouche doit taire, n'ayant que des mots de chien.Oh guitare magique, quand tu fais vibrer tous tes accords, un monde fantastique, fais revivre ton coeur de bois, moi.Je sais pourquoi tu as pleuré, et tristement, je vais te prendre pour embrasser.Mais tu es la femme de ma vie, pourtant jamais nous ne vivrons au coeur de la même chanson, au coeur de la même maison.Je voudrais que tu aies compris que si je t'aime, tu es aussi pour moi la femme de mon ami, de mon ami.Vous les femmes, vous les femmes, vous pensez avec le coeur. Vous les femmes, vous les femmes, vous embellissez nos heures.Vous les femmes, vous les femmes, vous donnez tout son comté. Vous les femmes, vous les femmes, simplement soyez remerciées.On vous doit la vie, on vous doit nos joies, et notre premier sourire. Et lorsqu'on a peur, quand on est petit, on se réfugie contre votre coeur, pour nous consoler chaque fois, en nous berçant dans vos bras.Vous les femmes, vous les femmes, vous donnez tout son comté. Vous les femmes, vous les femmes, simplement soyez remerciées.On s'en allait, chassés par le cyclone, et sur la route, on nous avait jetés. Mais quand on fut près de l'Ile du Rhone, on a compris qu'on était arrivés, on a compris qu'on était arrivés.L'Ile du Rhone, semblait nous attendre. L'Ile sauvage, tout seul homme oublié. On a percé ce glace vide et tendre, pour y planter nos tentes et nos pommiers. Pour y planter nos tentes et nos pommiers.La ville blanche, écrasée de soleil, où un jour je suis né. Les rues en pente, pensées de l'humain légendaire.Oh mon Dieu, non je n'ai pas oublié, que la vie n'a jamais changé. Mais on n'a pas le droit de l'oublier. Non, non, non, non je n'ai pas oublié, que la vie n'a jamais changé.Mais on n'a pas le droit de sacrifier le présent au passé.Là, c'est beau, c'est beau, allez-y.Non, non, non je n'ai pas oublié et je n'oublierai jamais, mais aujourd'hui vous et moi ne pouvons rien changer.Sans voir le jour, ta crâne blanche à la main, tu vas toujours confiant ta vie au coeur d'un chien.Et pleine d'amour, devine en tout du bout de tes doigts, sans voir le jour, tu vois mieux que moi.Dans la nuit, tu ignores que la route est jonchée de mensonges et de doutes, tu ignores les visages maussades, la colère et l'envie desséchant des coeurs.Quand je vois les amours qui se meurent, je voudrais comme toi, quand je pleure, m'enfermer dans ta nuit quelques heures, pour y mettre à l'abri un monde meilleur.Sans voir le jour, ta crâne blanche à la main, tu vas toujours confiant ta vie au coeur d'un chien.Sans voir le jour, tu vois mieux que moi.Ouvre-moi l'appart, je ne dois rien appeler, je ne pensais pas que tu m'entendrais.Ce n'est pas facile de te faire entrer, mais je vais quand même essayer.Tu devras d'abord choisir un beau métier et le faire avec passion.Vivre avec les gens, apprendre à les aimer, sans te faire trop d'illusions.Protéger la vie de l'arbre et du ruisseau, te faire des amis parmi les animaux.Vivre ton espoir et chanter quand il pleut, alors tu seras heureux.Ouvre-moi l'appart, je ne dois rien appeler, je ne pensais pas que tu m'entendrais.Ce n'est pas facile de te faire entrer, mais je vais quand même essayer.A solem sala, occhi dolci e felicità.A solem sala, j'aimerai te voir.Quand tu penses à solem sala, cagio lasciato qua là.Una nostalgia amara, con un solo di chitarra, un corretto e trima.A solem sala, occhi dolci e felicità.A solem sala, più ben non si possa.Più ben non si possa.Deux ailes et trois plumes, en semblant costumes, on dirait une mariée.Voici la colombe, la jolie colombe, qui voudrait bien se poser.En fond de ce monde, oubliez vos frondes, vous risquez de la blesser.Voici la colombe, la jolie colombe, qui a peur de se poser.Laï, laï, laï...En fond de ce monde, oubliez vos frondes, vous risquez de la blesser.Voici la colombe, la jolie colombe, qui va bientot se poser.J'avais le long des yeux, comme un enfant perdu.J'étais seul, j'avais froid, toi Paris, tu m'as pris dans tes bras.Le long des Champs-Elysees, les lumieres puniaient de l'heure.Quand j'ai croisé les terrasses des cafés, elles m'ont tendu leurs fauteurs.Saint-Germain m'a *** bonjour, du soleil noir du bout.J'ai fait danser mon amour de la vie, c'est le pire et le plus joli.Laï, laï, laï...Toi Paris, je suis bien dans tes bras. Encore, c'est formidable.Laï, laï, laï...Les millionnaires du dimanche, laissent le pain sur la planche.Pour une chemise blanche, qui leur va beaucoup mieux.Les millionnaires du dimanche, font d'une baraque en planche.Un cabanon sous les branches, où ils sont plus heureux.Laï, laï, laï...Laï, laï, laï...Mon coeur d'attache, c'est toi. Le toit de ma maison, c'est toi.L'histoire de mes chansons, c'est toi. Mon chemin d'horizon, c'est toi.Mon coeur d'attache, c'est toi. Le toit de ma maison, c'est toi.L'histoire de mes chansons, c'est toi. Ma vie et ma passion, c'est toujours toi.Laï, laï, laï...Laï, laï, laï...Toi, Paris, je suis bien dans tes bras.Toi, Paris, je suis bien dans tes bras.Et toi, l'Olympia, je suis bien dans tes bras.C'est toi, c'est toi, c'est toi, c'est toi...C'est dans vos mains que demain notre terre sera confiée pour sortir de la nuit.Et notre espoir de revoir la lumière.Et dans vos yeux qui s'éveillent à la vie, séchez vos larmes.Faites du monde un paradis.En fin de tout, éliminez vos peines.Semez l'amour.En fin de tout, éliminez vos peines.Semez l'amour.Laï, laï, laï...Et puis le jour où l'amour sur la terre deviendra roi, vous pourrez vous reposer.Lorsque la joie ouvrira nos prières, vous aurez droit à votre éternité.Et tous les rires de votre empire feront du monde un paradis.En fin de tout, payez dans des bons mains.Meurtrismez l'amour et puis donnez la vie.En fin de tout, payez de toutes vos couleurs.Vous avez dans le cœur notre bonheur.En fin de tout, payez de toutes vos couleurs.Vous avez dans le cœur notre bonheur.En fin de tout, payez de toutes vos couleurs.