Et puis se part l'ennuiTu vas, tu cheminesLes ronds d'or te traquent et te chassentL'orage vient et passeSous le vent les empassesInventant de grandes misèresMais rien ne te sertDe fuir encore une foisIl est facile de croireA cette douce folieA ce mal de vivreQui te traîne et qui te gêneDans les voiles de ton âgePas d'allureDu sucreDe cette chambre noireDe ce paysDe cette porteRescapé des naufragesDe ces lancesDe tes rêvesDe les brasDe ton âgeTu te sens bienMoins étrangeMoins heureuxMoins heureuxMoins heureuxDans les voiles de ton âgeEt jusqu'à peineQui te stalleBien moins étrangeBien moins étrangeMoins嗯 PowellÉtrangeMoins emotionnelMoinsзivre