Pourquoi tu me regardes, pourquoi tu me regardes, putainPourquoi tu me regardes, pourquoi tu me guettesÇa m'énerve, ça me rend fou, j'ai pas la têteJ'aime pas ta gueule, ce soir je suis vénèreFaut me laisser seul, plus rien je ne tolèreJ'veux tout foutre en l'air, brûler ce classeurJ'ai pas les mots, enfermé dans une boîte videTout seul avec plein de monde autour, une chaîne qui se casse viteUn coup de pain dans le mur, la furie d'un quart d'heureEn guerre avec la foule, le sang qui monte viteComme si j'avais mes règles, t'attends quoi de moi entouré d'hypocritesTes oreilles mentent, tu m'entends mal comme si t'avais au titreL'impression qu'on ne comprend que les chiffres, brisés par le poids des nombresPeur d'être un pro du peur, de ne devenir qu'une ombreAcculé dans le doute, je veux tout enculer sur ma routeJe les entends rire, je m'entends pas pleurerJe me vois pas vivre, je vois pas la porteJe t'aime pas, je m'aime pas, pas de nousCramé sur place, descendre dans la gorgeLa bouche est pâteuse, demain j'arrête de fumerBesoin d'espace, tu prends trop de placeJe ne suis qu'une ombre, laisse-moi faireAime-moi vraiment, je ne sais pas qui je suisJe ne sais pas ce que je suis, seul face à mes traversJ'ai vu le succès à l'envers, exilé de mon navireJ'ai jeté l'encre au mauvais endroitJ'ai vu l'envers du décor en moiVivre pour deux, mourir tout seulSe croire invincible, avoir quelque chose à perdreC'est quoi être un artiste, je suis une éponge à la merEst-ce que je dois alimenter mon addictionD'humeur posthume, mauvaise postureIls ont cassé leur dos à force de cambrerD'humeur posthume, mauvaise postureC'était pour la prendre ou mieux la donnerOn baisse tous quelqu'unGarçon délicatEnvie d'en finirMais si je pars, qui s'en souviendraIls comprennent pas mes tripes, mais ils les mangent aux petits oignonsJe suis encore dans la sauceNe rien laisser passer, se sentir léséJe sais pas si je m'aime, éviter la simplicitéLe goût du sel, je suis un hommeEt sur ma joue, me donne soifL'exaltation des sens, j'en ai 5 plus 1J'en ai 5 plus 1La vie parfois c'est dégueulasseObligé d'être triste, feu d'artificeJe ne ressens plus la pression, l'impression du désertJe commence par le dessertDernière fleur à peine en vie, je demande juste qu'on me laisseJ'imagine ton corps sans vieJ'ai des envies de meurtre, haine tatouée sur le corpsJe suis en colère, et c'est pas une métaphoreLeur bulle n'est pas la mienneJ'idéalisais leur carrière, maintenant j'assure leurs arrièresEt que pensent-ils vraiment ?On est toujours personne pour quelqu'unQui détient tous les sous, les ventes, les vies des gensHonnête hein, qui va m'apprendre quoi maintenant ?Je suis plus ce type, tu ne ris plus, tu pleuresMaintenantD'humeur posthume, mauvaise postureIls ont cassé leur dos à force de cambrerD'humeur posthume, mauvaise postureC'était pour la prendre ou mieux la donnerJe me sens tigre à plein d'airYves j'ai besoin d'airMa glace a fondu, c'est le Titanic dans ma têteFaut pas que tu paniques, arrêteAucune affinité avec ces fils de puteRéussir c'est comme çaComme un film de culFaut faire du sale pour être reconnuSi tu te sens cuit, c'est que Marie m'écritFaut-il mourir pour être encensé ?J'écris avec le cœur, moi, pas qu'en françaisLa plume au Panthéon, la vie dans la fosse communeIls me regretteront par ferveur populaireSi je finis en sujet de bacMoi, je serai pas payéTu ne m'impressionnes plus depuis que je sais qui je suisVite de sens, j'ai jeté la montreRécupérer le temps si tout passePourquoi je reste ?Exister sans le faire, éloigner tout du resteNe manger que les restes, ***-moi pourquoi je resteLa plume à terre comme un fouet d'hiverUn canapé en velours, un appel au secours-moi à me torturer seulY'a ton parfum qui sent le seumYoun