Dans une taverne de violontre
Nous se retrouvés
des étrangers
Nos voix triplées de joie
montaient de l'ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C'était le temps des pleurs, on
ignorait la peur
Le lendemain,
avec un goût de miel,
Quand tu apprenais mon bras,
tu avais suivi ma voix
On était jeune et l'on croyait au ciel
Lalalala
Lalalala
Et puis sont venu les jours de prume
Des bruits étrangers et des pleurs
Combien j'ai passé de nuit sans lune
À chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme dans des fleurs
Où l'on vivait
sans peur
Chaque jour avec un goût de miel
Votre bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Lalalalala
Et ce soir de suite
Et la chanson que la nuit m'apporte
Mon coeur déjà ne la connaît plus
Demain avec un goût de miel
Prenez mon bras,
ta voix suivez ma voix
On écrit Jean-Louis l'empoyeur de ciel
Laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï,
laï, laï, laï, laï, laï, laï,
laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï,
laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï,
la
La la la la la la ...