Y'a plus d'amour, mon cœur agite un drapeau blancJ'fais plus confiance aux gens, je fais semblantJ'ai bien beau croire en Dieu, j'veux voir ses plansEt puis j'veux que la chance me sourieJ'veux voir ses tempsCette vie d'adulte n'est plus un rêve quand on est grandCertains disent qu'elle est plus facile lorsqu'on est blancMaisla douleur n'a deux couleurs, une seule du sangMoi, j'aimerai que la chance me sourieJ'veux voir ses tempsJ'veux voir ses tempsJ'veux voir ses tempsJ'veux voir ses tempsJ'veux voir ses tempsSes tempsJe veux voir si t'en, t'en, t'en, t'en, t'enJe veux voir si t'enLui par les cendresDevoir attendre de faire là que je veux passer devantLes lumières s'éteignent lentement dans l'immeuble en faceUn voisin éteint l'espoir dans un verre de glaceLe frigo vide mais je fais de l'humour avec les restesParce qu'au fond je sais que la chance traîne dans le coin d'un texteLes factures s'entassent comme dans le but de casser l'ambianceChaque enveloppe est un coup de poing, j'encaisse en silenceCette chance facile à aimer mais si dure à croireMoi je la cherche en vain comme un taxi-videUn samedi soirUn samedi soirJe veux voir si t'enJe veux voir si t'enJe veux voir si t'enJe veux voir si t'en