Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
J'ai gravi la montagne pour venir jusqu'à toi,l'agon qui m'accompagne m'a guidé vers ton toit.Salut à tous, mon frère, sois-il bienvenu pour qu'ici l'on rivère.Notre forme est connue.La victoire fascine, les esclaves effreux rallieraient la ville.Nos soldats venteux ont fui plein d'épouvante.Nos soldats venteux ont fui plein d'épouvante.Sanson, ton loup a ses précautes à toutes les vraies oeuvres.Patin, panorre, race, il reçut de son dieu la force avec l'audace.Enchaîné par un peu, Sanson est sa naissance.Et marqué par son nom, il est mort.Mais les adversaire, où pavent la puissance, vos peuples disparaissent.Mais je sais que son courage trompe votre proue.Et qu'il n'a pas d'ouvrage qu'il ne garde pour vous.Et qu'il n'a pas d'ouvrage qu'il ne garde pour vous.A tes genoux, sa force un jour l'abandonna,Et depuis il s'efforce d'oublier Dalila.On *** que dans son âme, oubliant ton amour,Il serait de la flamme qui ne durera pas un jour.Je sais que de ses frères, écoutons les histoires,Et les faits d'un amer sont forts de nos amours,En son maître.Malgré les miennes, ton vent et ton bain,Je suis comme une hymne, et mon cœur ne craint rien.C'est ton bain qui me grade, et pour au combat,Mes dilemmes.Et mon esclavage,Il trompe dans mes bras.Serre-nous de ta puissance,Prête-nous ton appui,Surprime son épaule,Qui s'efforce d'oublier.Envoie ton esclavage,Tape son son,Et pour te payer sa rançon,Je ne ferai point de promesse,Tu peux choisir ton paix et tes richesses.Tu portes Dalila à ton âge,Et que pourrait tout être résumé,Si je ne rêvais la vengeance.Moi-même, malgré ta violence,Je suis trompée par cet amour,T'en sens si vous en tire un jour,Mais il la prime avec ton corps,Par tant que toi,Je l'adore.T'aurais ***, devinez ta peine,Et ton dessein,Mon père hantait tout un tressailleDans l'épreuve.Hé, sur son père déjà,N'aurais-tu pas enfinMesuré ta puissance,Essayé ton adresse ?