47 samouraïs dont le maître vénéré fut trahi et tué par un autre seigneur.Ils devinrent alors des ronas, des samouraïs sans maître,déshonorés par la fourberie d'un autre homme.Pendant trois ans, ils complotèrent, se faisant passer pour des voleurs, des mercenaires et même des fous.Une nuit, ils passèrent à l'attaque et après s'être glissés dans le château du traître, ils les tuèrent.Rimeur vagabond à la démarche nonchalante, papillon attiré par des flammes brûlantes.Tu remutes et Kansu l'a mis dans un verre d'eau, superflu, sans laisser de vertu du bouchido.Ce chemin, rien ne sert d'aussi dépêcher, sans parfum comme un tas d'ossements desséchés.L'orage est déchaîné.Ton esprit vacille, battre non manché, n'est rien, n'est plus facile.Les corps divisés n'ont rien de magnifique, le finesse de destin d'un breteur maléfique.La roue de vie, les rayons de la samsara, le bruit des têtes qui tombent dans les chambaras.Sur la voie de la tragédie, moi j'ai déjà donné, j'écris dans la calmie d'un jardin japonais.Fragile origami, rien n'est plus délicat, connaît les farouanaïs coup de santoka.Malentouré, moi je n'ai pas d'ancêtre, les tombes ne se comptent que par quarantaine.Moi je chante pour les samouraïs sans maître, venir au monde jusqu'à mourir sans être.A la lueur des lames, l'homme est immédiate, dans la terre de l'ombre comme dans mes licardes.Ne baisse pas l'oeil, combattant néophyte, on te tranche la nuque de manière méthodique.Ton intime authentique, mélodie mortelle, petite et qu'une courtisane dans un bordel.L'amertume d'une blessure émotionnelle, les armures se fissurent comme de la porcelaine.Vois le désespoir de mon répertoire, oiseau d'hiver.S'envolant vers un ciel noir, l'on sature le traité des cinq roues.La vraie nature de la perle et du caillou.Sur la voie de la tragédie, moi j'ai déjà donné.J'écris dans la calmie d'un jardin japonais.Fragile origami, rien n'est plus délicat, connaît les farouanaïs coup de santoka.Malentouré, je n'ai pas d'ancêtre, les tombes ne se comptent que par quarantaine.Moi je chante pour les samouraïs sans maître, venir au monde jusqu'à mourir sans être.Encryptoméria, démoniaque, profil comme d'un Onibaba.Souviens-toi de la morale de Sanjuro, les meilleurs sapres resteront dans leurs fourreaux.A fermer son cœur afin de calmer la peur, au matin je meurs comme un camélia.La douce odeur de la tristesse évaporée, suivre les préceptes de l'agakure.De l'astuce des russes, des ronins dans la rue, des geishas ou des kimonos de lotus.La sagesse d'un surpasse et des bouddhas fièrement forgés dans le fer de mon tsuba.Dans la voie de la tragédie, moi j'ai déjà donné, j'écris dans l'accalmie d'un jardin japonais.Fragile origami, rien n'est plus délicat qu'un élu farouanaï qu'on nous sent au cœur.Malentouré, je n'ai pas d'ancêtre, les tombes ne se comptent que par quarantaine.Moi je chante pour les samouraïs sans maître, venir au monde jusqu'à mourir sans être.Venir au monde jusqu'à mourir sans être.Ronin.C'était Harry Inglåt dans La vie sans bargaining sans résistance.Intimité, la poénture, l'hyper-éloquence, une relative de vie sans technique.instance deنSous-titrage Société Radio-Canada