Tu me regardais encore, les yeux comme des gouttes d'eauEt je t'ai serré si fort, comme cet air serré l'étauJe n'ai pas voulu te le dire dans ces mots-làMais tu sais bien que c'est moi qui portais un bout de brasTes blessures et querelles que t'emmènent avec toiJ'ai pris mon courage à deux doigts, c'est mieux comme çaT'as voulu me retenir sans en être vraiment convaincuEt t'as voulu revenir te disant foutu pour foutuCe que j'ai pu retenir, c'est que je ne m'avouerai plus vaincuPas de quoi revenir, on a fait ce qu'on a puOn aura fait des effortsMais la fin commençait à sonner fauxJe ne te donnerai pas tortSeulement il était trop tôtPour se mentir en pensant que c'est beauJe n'ai pas voulu te le dire dans ces mots-làMais tu sais bien que c'est moi qui portais un bout de brasTes blessures et querelles que t'emmènent avec toiJ'ai pris mon courage à deux doigts, c'est mieux comme çaT'as voulu me retenir sans en être vraiment convaincuEt t'as voulu revenir te disant foutu pour foutuCe que j'ai pu retenir, c'est que je ne m'avouerai plus vaincuPas de quoi revenir, on a fait ce qu'on a puJe ne m'avouerai plus vaincuC'est décidé j'ai bien trop couruJe ne m'avouerai plus vaincuJe ne m'avouerai plus vaincuC'est décidé j'ai bien trop couruJe ne m'avouerai plus vaincuJe n'ai pas voulu revenir te dire çaT'as voulu me retenir, sans en être vraiment convaincuEt t'as voulu revenir, te disant foutu pour foutuCe que j'ai pu retenir, c'est que je ne m'avouerai plus vaincuPas de quoi revenir, on a fait ce qu'on a puT'as voulu me retenir, sans en être vraiment convaincuEt t'as voulu revenir, te disant foutu pour foutuCe que j'ai pu retenir, c'est que je ne m'avouerai plus vaincuPas de quoi revenir, on a fait ce qu'on a pu