Baguette,
oui baguette
Baguette,
oui baguette
Baguette,
oui baguette
Baguette,
oui baguette
Baguette,
oui baguette
Où bas les compagnes qui l'habitent à la
J'en *** c'est con ça,
de même et autrement
Où bas les compagnes qui l'habitent à la
J'en *** c'est con ça,
de même et autrement
Baguette,
oui baguette Baguette,
oui baguette
Laisse-nous, laisse-nous s'étendre,
oh oui
Qui donc
a jamais aimé sans avoir souffert Qui
donc a jamais souri sans avoir pleuré
Dans ce monde de joie et de peine,
chose contraire sans se battre
Pour se confondre et ne faire qu'une fois,
oh oui
Qui donc même risque ne se sente pas froid,
pauvre mec
Qui donc au fond de sa misère ne possède des richesses
Dans ce monde de bon de mauvais,
de malheur ou de bonheur
Chaque homme vit en lui ce conflit
Alors viens sauter l'arme sans trop de honte
Et mon souffrance sera encore,
quoi riche ou pauvre,
sans convoitise
Ainsi,
ne crains plus d'être le dernier,
car tu es souvent le premier
Gagner c'est aussi savoir perdre
Moins content,
moins content,
moins content,
j'aime moins j'ai
La vie qu'a piffine et montée, foutre sa velle
Moins content,
moins content,
moins content,
j'aime moins j'ai
La vie qu'a piffine et montée, foutre sa velle
Moins content,
moins content,
moins content,
j'aime moins j'ai La vie qu'a piffine et montée,
foutre sa velle
Moins envie de plaire,
la vie bouleversée Moins envie de plaire,
toute bagaille changée
Moins envie de plaire,
la vie bouleversée Moins envie de plaire,
toute bagaille changée
Moins content,
moins content,
moins content,
j'aime moins j'ai
La vie qu'a piffine et montée, foutre sa velle
Moins content,
moins content,
moins content,
j'aime moins j'ai La vie qu'a piffine et montée,
foutre sa velle
La vie a compliqué,
par un temps l'homme moussiais
La fausse qualité,
plantée pour récolter Dans nos coeurs n'est l'amour,
la haine
L'ivoire aussi le juge,
toute une vie pour mourir
Sans crème pour pourrir,
une naissance dans la joie
Dans nos jeunes, en émoi,
le vieil art est de le jeûner
Et le jeûne le soutien
La
vie a compliqué,
faut pas rater l'homme moussiais
La fausse qualité,
plantée pour récolter Dans l'homme demeure l'enfant,
c'est l'enfant
qui paie l'homme Toute une vie pour mourir,
tout crème pour
pourrir Une naissance dans la joie,
dans nos jeunes,
en émoi, foutre sa velle