Le jeu du printemps était pipé d'avance, mais s'il pouvait comprendre l'impossible aveu d'un regard fermé.Les fleurs attendent dans l'absence des fougères.Attendent quoi ?Tu croyais que les portes ne s'ouvraient pas, que l'air n'entrait pas.L'air est l'attente de l'arbre.Elles s'ouvrent les fleurs, lentement, si lentement.Mais quand elles s'ouvrent, il faut y croire.Ils étirent ces tentacules fleuries comme le soleil ses rayons.Tu voudrais les refuser ?Ils sont plus forts que ton refus.Sous-titrage ST' 501Sous-titrage ST' 501Il a suffi d'un point frêle dans l'air, moins que rien,un pétale dont ne sait quelle fleur, pour souffler ma lucide maison de verre.Elle a *** oui.Elle a accepté pour qu'elle croit.Croit à quoi ?Toutes ces bêtes, mêlant leur tête,leurs pattes, quatre à quatre.La terre les absorbe pour une glaise meilleure, celle où tu marches.L'ombre d'une aile dans le soleil,un visage avec son nom.Pour qui le chant du merle ?Pour les fenêtres ou pour les cheminées ?Pour la bricotier gelée ou pour la dent de lion ?C'est pour elle qu'il chante le merle.Pour elle.Pour lui aussi, peut-être.Pour lui.Au grand soleil, ses notes répétées.Le cri gai du merle fou.................................................................................................L'enfant n'a saisi qu'un peu de boueau bout de son bâton.Le vent bat la vitre,quereille un pâle soleilet minute la mort d'une araignée.La pluie rit,l'aiguille de la pendule rit,le miroir où je me regardeme regarde et rit.Il pleut sur le portail mal ferméd'une douleur rouillée.Le portail grincesur ses gonds.Un cri s'échappeau fond du cœur.Ne crie pas.L'herbe acide n'a pas d'échoni les violettesni ce nuageque fend le bateau....Qui entend un appel muet ?...Peut-être l'oiseau ?...Mais il siffle son printempsnon le tien....Rendez-vous stérileavec le silenced'où l'on sortplus meurtri qu'une tigede lierre écrasée................гор... ... ... ... ... ... ... ... ... ...,... ... .... .... ... ... ... .. ... ... ... ... ... ... ... .... ... ...Ma douleur n'a pas de reposmais le courage du lâchePencher sur l'eau dans un silence à ne pas conspirerLa mort de la moindre libelluleDehors, le vent du sud, plein de senteursÀ l'intérieur, deux aiguilles rouges dans un bocal, stérilisésLes étoiles ne tiennent pas, ou pas encoreLes épingles tiennent bien, précisesLa douleur les pointe au plus profond des chairesL'herbe grave dans le vent noir, comprend-elle ?L'enfant partagerait sa douleur comme un gâteau doréUne part au soleil, une part à l'arbre, une part aux nuagesUne part pour lui, bien sûrUne heureUne heure de soleil, plus longue qu'une heure de pluieLe temps s'est arrêtéAu cœur qui ne se remet pas, il faudra d'autres blessuresEntre les cils, le cœur batLes veines d'une feuille lui ont crié son destinCe qu'il a *** aux plus grands des nuagesÀ la plus petite des feuilles, le ventCe qu'il a *** à l'ovale d'une goutte d'eauAu gris d'une plumeDésespère de l'entendre jamaisL'hirondelle s'attarde au bord de l'eauDans l'attente de l'heure qui va venirAu bout de son attenteLe moucheron, l'amourQuelque chose à prendreAu bout de la tienneLe videQu'on ne saisit pasSi seulement un peu d'amourMais l'oiseau chante fauxDans l'herbe fausseJe ne lis plus les signes des oiseauxMais les regardeComme ils partentComme ils s'arrêtent autour de moiVoici le ciel et voici les pommiersVoici un nuageEt voici les genetsVoici que j'ai envie de crierUn cri qu'on entendeRire plus aigu qu'un criLe chiat tu as d'un coup dedansLe papillon jaune citronOù partir crier son rireÀ des milliers de lèvresSous des milliers de regardsVoués au jeu de la joie et du désirJe n'ai que faire de tes pervenchesJe n'ai que faire de ton bleuDe ton vertDe ton vertDe ton soleilJ'ai affaire en moiUn peu d'oubliJe n'ai qu'à faire d'un coup d'oeilJe n'ai qu'à faire d'un coup d'oeilAu nuage déchiréLinge sale dans le ventAux feuilles écraséesAux plumes par terreAu nuage déchiréLes yeux secs d'avoir pleuréCrient bienvenueLa mesure est combleJ'ai bu jusqu'à la litLe premier parfumDu premier muguetTroublé d'une main dureLa tâche mauve de son refletAu fond de l'eauTout brouilléLe soleil et la lunePourquoi ?Le reflet du bleuLe bonheur perduLa main d'un enfantEntre ses doigtsLe saisiraLa douceur d'un pistilFait frémirLes dents s'agacentFaute de victimeRayé d'un ongle purLe velouté impur d'un caliceÉcharper la tendresse verteD'une feuilleFaire malPour avoir moins malLa vie qui lèveSègle léger au bord du champArracher quoi ?Il y a tant de racinesEt qui tiennentMaintenant que c'est presque finiIl reste à tes pasUn chemin de micaPlus dur que ton désirEt qui mèneDieu sait oùQui ne regarde plusLorsque수가Ce n'est plus midiEt blanquentLes paremesEt ils pontoquentEt on amuseEt qu'on col 얘.................................