Pas la peine de t'effacer de mon répertoire,
contact.
Je suis déjà pris devant,
à tout prix,
de supprimer de ma mémoire,
vive,
la touche,
qui l'aide.
Ces traches me cachent,
et inutile de me poser la question.
Oui,
je veux supprimer ce fichu fichier.
Ce numéro à dix chiffres appris par le cœur,
que je composais frénétiquement,
alors que tu t'envoyais en l'air de rien.
Réglage en mode avion.
Je n'ai jamais voulu que tu sois la seule.
Ces selfies m'agacent,
me relèguent au rang de soupirant,
prétendant ne pas voir nos appels en absence de sentiments.
Des gares,
dans lesquelles j'ai pris mille trains pour te fuir.
Mes messages ignorés sur ta boîte vocale ont saturé ton espace vital.
Je n'ai jamais pensé que tu deviendrais dévaster ma vie.
Ton amour a été comme un hurricane.
As-tu jamais senti la douleur que tu m'as fait ?
Je n'ai jamais voulu quelque chose que toi.
Tu as changé tes réglages.
Ne pas déranger.
Je ne suis plus ton fond d'écran tactile.
Ça me touche, tu sais.
Comment rester en mode silencieux,
sans réagir à tes mises en attente de jours meilleurs ?
Prisonnier volontaire de ton numéro de charme masqué.
Je n'ai jamais pensé que tu deviendrais dévaster ma vie.
Ton amour a été comme un hurricane.
As-tu jamais senti la douleur que tu m'as fait ?
Je n'ai jamais voulu quelque chose que toi.