Il parle d'un truc qui commence par l'amourC'est pas un clip de R'n'B avec des corps huilésTout ça du fait des regards au ralentiT'allumes des vichys, bouge tes becsT'es une *** machine, tu mouilles tes lèvresToutes les cinq minutes, comme Hélène GoudjieElle veut sentir le cuir de la mer qu'aux sous ses cuissesSa vie, elle veut la fuir, entendre les pneus qui crissentDonc elle se prépare devant son petit miroirSur ses grands yeux noirs, tamponne un peude fardCintrée comme un bonbon dans sa robe en plastiqueFragile, sans rayon, dans un corps atomiqueElle rêve, elle s'imagine, se raconte des histoiresDes histoires, des histoiresCroit qu'elle changera sa vie, comme tous ces samedis soirsElle connaît déjà la forme, elle fait comme siTout ira bien, c'est pas possibleL'amour est porté, disparu, disparu, disparuIl cherche le grand amour, mais se sent minusculeFaudrait qu'il soit lourd, faudrait qu'il fasse des thunesFini la vie de bouche, finis la vie de boucheAu fond, il va devenir roiL'argent c'est facile, c'est qu'une question de choixSur le perpandoir, se reflète la luneDans sa nouvelle voiture, repérée par le studioAladdin en sourcil, la tête dans les étoilesBandit a les yeux qui brillent, cendrillon est à sa tailleIl connaît déjà la forme, il fait comme siTout ira bien, c'est pas possibleL'amour est porté, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparuL'amour est porté, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparuTu redémets en 2012 mec, hardcore C'est pas la fin des temps, c'est la findu love Y'a beaucoup de demandes, mais encore plusd'offres D'une histoire à l'autre, en on et offDes smicards du cœur, gros truqueurs Luxembourg, pro-pique-niqueurQui nique par cœur, Speed Peter Parker sur la toile, c'est des gros cliqueursTu fais plus la cour, tu cliques, cliques Tu fais plus l'amour, tu giques, giquesTu cherches une fille avec un gros QI, sans le ITu lui mens un peu beaucoup à la folie Sujet, verbe, complimentPuis te prends et te jettes poliment L'amour précaire des smicards du cœurLes boîtes de nuit sont les cimetières des cœursFaut la cour à demi-ch'to, s'ennuie en club Pendant que ma gomme fait des gâteauxOn en vit pas ta life, on regarde tes clips en rigolantL'amour ça s'conduit pas, tu fais pitié, lâche ton volantEt j'suis pas un bouffon, j'suis amoureux, connardToi tu changes de voix quand vous êtes deux, canardNormal, si tu joues un rôle parfait, tu fais des gosses en l'airAu nom du bis, au nom des couilles, mais jamais au nom du pèreAu nom d'la caisse, au nom du fric, au nom du simple d'espritL'amour est porté, disparu, les cœurs n'ont pas de répit, yeahDisparu, disparu, disparuL'amour est porté, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparuL'amour est porté, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuDisparu, disparu, disparu, disparuSous-titrage ST' 501