Restez toujours à l'heure, ne ratez pas le porteur Au menu viande, saignante, dans le téléviseur, pas d'erreur Un peu comme un remake de Rambo, beau en live et en couleur À la différence près qu'aucun des trois fait acteur La guerre à dommer, c'est l'amour et la famille La terre en ce moment n'a pas vraiment bonne mine Son état de santé se dégrade et me mène J'imagine, bien pire que tu ne l'imagines Bing, fang, abattu sous les balles d'un tang À la joue d'autres jouent innocemment à se tirer la langue Par un oeuf sale, pourtant apparemment normal Dans un monde de malheurs qui petit à petit perd les pédales Père, toute notion de ce qui doit rester vital Voilà le mal, tout se décale, l'écrime a semblant dans le journal De plus en plus apocalyptique Ma vision n'en reste pas moins réaliste et logique Dans les topiques, typique de quelqu'un qui a pris l'automatique De ne plus faire confiance à leur éthique politique Trop de mecs marquent, trop de mimiques D'hiver y'a plus de fric, mais on envoie l'armée dans le vol de Persique On nous prend pour des bêtes, des banques, à de la tête on croit Anaphabète c'est pas du tout non, car moi J'ouvre les yeux, la télé, les journaux et je vois Que chacun joue pour soi et que plus rien ne va Plus rien ne va, non non, croyez-moi, plus rien ne va Plus rien ne va, non non, croyez-moi, plus rien ne va Plus rien ne va, non non, croyez-moi, plus rien ne va Plus rien ne va, plus rien ne va Chacun parcourt le monde grasso, ça déteste On regarde la mise à part le carré, magique Mec, il s'en fait qu'il réplique, que font les politiques Quand je n'ai pas le fric, par contre je vois la nuit Car je vois, on ne se déplace pas pour n'importe quoi, c'est ça ? Exact ! On prend du bruit de l'impact tactique, technique Médiatique, visant à tromper l'opinion publique Un grand coup de disque, on démarrage Et qu'alors, que vouliez-vous que je fisse ? Face à cette piste, à force de crier, j'ai l'impression de pisse De pisser dans un violeté, essayer de détruire un mur embêtant C'est embêtant Son mythe donne l'incompréhension, intense et totale Arrasant quand on l'a vu mal, sans importance Pour ceux qui sont à l'abri des balais Ouais, mais l'homme est un siffre C'est l'effet de faille, le moment d'humanité Why, why, why ? Parce que la haine n'apprend pas sur l'amour Parce qu'à l'acte, on préfère le discours Parce que personne n'entend les appels au secours Sans détour, sans détour Car jour après jour, de la planète s'écrime Le compte à rebours est court Danses ne sont pas des témoignements Mais plutôt des perles d'ouïe à tous ceux qui se planquent Et planquent à la banque, que croissent à terre une armée de tentes Multiplient les volts de force et nous prennent pour des troncs Et après ça, vous espérer notre soutien à les lois Car quand on suit les signes, on croit qu'il ne peut rien ne va Non, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Non, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va Croyez-moi, non, non, croyez-moi, il ne peut rien ne va