Et...
La cité s'endort
Dans la cave
Le bourreau s'endort mal
Les airs brûlent
Tu me serres fort
N'aie pas peur
Des fleurs du mal
Mais si tu cries
Comme en fer
Je te prie de te taire
Laisse-moi baigner ton souffle M'enfermer dans ta bouche
Et je te lâche, lâche En l'air de sourire
Et je te lâche, lâche En l'air de sourire
Des heures du vent Des airs brûlants
Des
heures du vent J'ai chauffé ton corps de la flamme
J'ai brûlé ton corps sage Des heures brûlants
Mais tu trembles encore Maintenant tu n'es plus sage
Et tu me suis
en enfer Où tu cuis pour replaire
Pour le savon et la source Qui s'affolent et claboussent
Et je te lâche,
lâche Des heures du vent,
des heures du vent
Si tu me rends fou Comprends mon mal