Des arbresEncore trop douxDans l'herbe écraséeÀ compter mes regretsÀ lui m'écraquerEt tout part en fuméePendant que les champs brûlentJ'attends que mes larmes viennentÀ l'air de la nuitEt quand la plaine on tueQue jamais rien ne m'attendeCe soir-là on s'est embrassésSans se parlerOh, oh, ohAutour de nousLe monde aurait pu s'écroulerLes yeux cernésDes poussières dans les cheveuxAu long de mes jambesLa caresse du feuPendant que les champs brûlentOh, oh, ohJ'attends que mes larmes viennentEt quand la plaine on tueJ'attends que mes larmes viennentEt quand la plaine on tueJ'attends que mes larmes viennentEt quand la plaine on tueOh, oh, ohÉcoutez, c'est ce moment-làDans le monde à mi-tempsDans le monde à mi-tempsDans le monde à mi-tempsEh, eh, eh, eh, ehLes yeux cernés des poussières dans les cheveuxAu long de mes jambes, la caresse du feuPendant que les champs ruentJ'attends que mes larmes viennentEt quand la plaine on dutQue jamais rien ne m'atterrePendant que les champs ruentJ'attends que mes larmes viennentEt quand la plaine on dutQue jamais rien ne m'atterreEt quand la plaine on dutQue jamais rien ne m'atterreSous-titres par Juanfrance