Nhạc sĩ: Enhancer
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Dodo, l'enfant dodo, l'enfant dormira peut-êtreDodo, l'enfant dodo, l'enfant dormira bientôtJe n'ai pas sommeil, je n'ai pas sommeilJe n'es pas sommeillé, pourtant l'exclus' est terribleJe n'ai pas sommeil, je n'ai pas sommeilJe n'ai pas sommeil, ça fait déjà des heures je le saisCe soir, je suis sans bouma toujours tout le même en combatDeux mois, deux coups, deux tombes, basMais qu'il n'y a plus de ma sonde, sa blague c'est tout un nôtageTantôt, comme un lion encargé, de la ruche, on garde ses targetsPétage de plombs, tout déclarage, je m'étache sur mon si peu d'héritageEst-ce que c'est des mots ou bien mes démonsQui m'ont d'un demi-démonDès demain, je prends mon avenir à deux mainsJ'peux être indémuni et ni vivant minimumJe pète le manimal du mini-camion, je passe au MegamanMême une cabane suffirait pour reposer mon âme ce soirJe n'ai pas sommeil, au plus tôt, je me tiens en éveilSachant qu'il n'y aura pas de réveil dans un piot où l'on pionce sur ses deux oreillesAlors que des médisants pensent aux paisantsDixaines de millions à l'archefête, mes dix ans de galère, si cuisants, je dirais même épuisantsEt ceci est dans...J'jouane taille sur jouane taille, ma bataille, j'esquivelle la cailleÉviter la flécaille, pour ça, faut surtout pas que je défraieC'est dire qu'à travail, y'a que le bétailQuitte la soude, la pluie, la nuit, quand ça cailleJ'vois pas tous les spotters de portage desserrer la médailleDîner, j'ai pas sommeilBaiser, j'ai pas sommeilBrasser, j'ai pas sommeilÇa reflète déjà des heurts, c'est çaBaiser, j'ai pas sommeilBrasser, j'ai pas sommeilBaiser, j'ai pas sommeilEt pourtant l'obscurité règneBaiser , j'ai pas sommeilBrasser, j'ai pas sommeilÇa fait déjà des heurts, c'est çaBaiser, j'ai pas sommeilBrasser , j'ai pas sommeilEt pourtant l'obscurité règneLes somnilles, toutes les nuits, trop de stressTout m'euppresse, j'ai la flemme, à la traîne, mal dormiLa somme de toutes ces nuits, à camberger des idées noiresA farfouiller au fin fond de sa mémoireTous mes sens en patate, y'a ma laisseMon corps me pèse, mon crâne me vanne, me laisse, me laisseSans l'éthargie, le jour, l'état, de névrose me guette toujoursReste que la nuit, porte conseilMais j'ai plus sommeilElle me tiraille, me travailleDe bataille en bataille, en tailleLa muraille forgée à la force de mes entraillesLe point de rupture, n'est plus très loin, obtureL'avenir kan furu a mesure 0InHD, j'ai pas sommeilMoi fi, j'ai pas sommeil, ça fait déjà des heures que je saleJs'ai pas sommeil, l'absurité règneInHD, j'ai pas sommeilMoi fi, j'ai pas sommeil, ça fait déjà des heures que je saleJs'ai pas sommeil, l'absurité règneTourner, se retourner, jamais arriver à trouver le sommeilNe veut pas de moi, les heures ne cessent de passerDéjà la nuit est tombée, que de l'empire te longeDes nombres, des ondes, tout l'monde tombe dans unTout l'monde se voit, seul, comme un démonSorti d'autres tombeauxMoment des morts, mort d'or ou mort d'aileEt d'un évêque rompantMais c'est pas le choix, c'est ce qu'on veutC'est ce qu'on veut, mais pas celaVoilà l'idée de mes vies passées, aidez-moi à sombrerTourner, se retourner, jamais arriver à trouver le sommeilNe veut pas de moi, les heures ne cessent de passerDes nombres, des ondes, tout l'monde tombe dans unTout l'monde se voit, seul, comme un démonSorti d'autres tombeauxMoment des morts, mort d'or ou mort d'aileEt d'un évêque rompantMais c'est pas le choix, c'est ce qu'on veutC'est ce qu'on veut, mais pas celaVoilà l'idée de mes vies passées, aidez-moi à sombrerTourner, se retourner, jamais arriver à trouver le sommeilNe veut pas de moi, les heures ne cessent de passerDéjà la nuit est tombée, que de l'empire te longeDes nombres, des ondes, tout l'monde tombe dans unTout l'monde se voit, seul, comme un démonSorti d'autres tombeauxMoment des morts, mort d'or ou mort d'ailEt d'un évêque rompantMais c'est pas le choix, c'est ce qu'on veutC'est ce qu'on veut, mais pas celaVoilà l'idée de mes vies passées, aidez-moi à sombrerTourner, se retourner, jamais arriver à trouver le sommeilDéjà la nuit est tombée, que de l'empire te longeDes nombres, des ondes, tout l'monde tombe dans unTout l'monde se voit, seul, comme un démonSorti d'autres tombeauxMoment des morts, mort d'or ou mort d'ailEt d'un évêque rompantMais c'est pas le choix, c'est ce qu'on veutSous-titres par SousTitreur.com