pleurent le long de rues de hasard.
Des envies qui se perdent et d'autres qui s'égarent.
On court tous après quoi pendant que sous nos toits,
il reste encore je crois de la place
pour de l'amour encore et toujours.
Pour de l'amour encore et toujours.
Si je saigne,
si je peine,
si je pleure sur mon sort,
si je traîne,
si je sème des pétales
sur vos corps,
si j'oublie d'où je suis et qui me mènera au port,
si je vais sans regret,
c'est par absence,
sans doute,
par absence d'amour.
Sans doute,
par absence d'amour.
Des rêves qui s'évadent aux mers de tous les soleils.
Des pensées qui s'attardent
et d'autres qui s'éveillent.
On court après le vent en Espagne, en Orient.
Il reste encore pourtant de la place
pour de l'amour encore et souvent.
Pour de l'amour encore et toujours.
Si je saigne, si je peine,
si je pleure sur mon sort, si je traîne,
si je sème des pétales
sur vos corps,
si j'oublie d'où je suis et qui me mènera au port,
si je vais sans regret,
c'est par absence, sans doute,
par absence d'amour.
Sans doute,
par absence
d'amour.
Si je saigne,
si j'en crève, de froid quand l'hiver est fort,
si je vis,
si je prie,
les étoiles, les astres morts,
si j'osais,
si j'étais quelqu'un d'autre, quelqu'un de fort,
je le sais,
puisque c'est,
c'est par absence,
sans doute,
par absence d'amour.
Sans doute,
par absence d'amour.
Sans doute,
par absence d'amour.
Par absence,
par absence d'amour.