Il y a tant d'histoires, faut le voir pour le croireA Paname y'a pas un homme qui vive sans être stresséY'a pas qu'un homme qui veuille sans cesse tracerAu petit matin, des sacs à vent, des mères, des chiens, des seringues et des tabansDes gamins, clandestins, j'ai pas l'air d'être iciDans la mélance, où tout s'entasse, tous en graine, tous succombent à cette odeur malsaineIssue de la scène du métro, la même ambiance, même attitudeOui ça crame, mais ici c'est pas une cour de récréComment ça pue, ouais t'as vu comment ça tueDans ta rue, non t'as pas d'allure, l'univers y'est impitoyableIci les délits et non les délits se répètent comme un dilemmeY'a la sécurité, monde s'immisce dans les moindres petits intersticesFavorisent les actions de la policeEt les militaires en falsion ratisent n'importe quel simili-médiceAlors en gravure, en peinture, sur les murs, sans ratureDes signatures signifient notre futur, telle est la conjonctureC'est pas la vérité dure, mais c'est un droit qui nous tuera à l'usureY'a des gosses, des mères, des gars et des tocs, des gars, c'était clairTout le monde se regarde, ils craignent, y'a des flippes, tous souhaitent tout attraper leur misèreY'a des gosses, des mères, des gars et des tocs, des gars, c'était clairTout le monde se regarde, ils craignent, y'a des flippes, tous souhaitent tout attraper leur misèreY'a propre en gran***, propre en ***, y'a haut le drapeau, des escrocs, des coups de couteauxDes coups dans l'dos, des macros, Macron des ados, des mots macros à l'hérosDes gars qui vendent du cracko, d'autres qui squattent le métroUn assaut d'hypocrisie, ça m'énerve tropFroid de faire croire encore qu'aujourd'hui l'fait bon vivreDans une ville aussi pourrie que Paris, une porcherie où rêvent tous les servilesJ'prends les paris, trouver des gens s'dépanouis, heureux d'vivre, au milieu du trafic des grandes villesAu milieu des coups d'pression, des dépressions, les regards tombent et y'a la peur qui rouleY'a des gosses, des mères, des gars et des tocs, des gars, c'était clairTout le monde se regarde, ils craignent, y'a des flippes, tous souhaitent tout attraper leur misèreY'a des gosses, des mères, des gars et des tocs, des gars, c'était clairTout le monde se regarde, ils craignent, y'a des flippes, tous souhaitent tout attraper leur misèreLa flamme qui éclairait Notre-Dame, la dame s'est éteinte sur le macadamAu rythme de toutes ses âmes, circulant tel des hologrammesSe donnant d'années en années, condamnées à irisAu milieu de cette foule qui fâte, cette flamme qui cantope et ouraneD'âmes en saison, qui blâment au-dessus de ce mélodrameToutes ces hommes, toutes ces femmes, devenant mythomanesSe convaincant que ses âmes ouvriront la porte de l'oncle SamComme dans un songe, les rêves calment les espoirsLeurs pour oublier son désespoir, et croire au comptable de PanameQue cette dame mérite seul tout les blâmes de PanameUn mec qui n'a pas mal et pourtant même les larmes ne font pas sonner la larmeEt la haine pousse les âmes à n'être que l'ombre de merY'a des gosses et des mères, des kai***soks, des garces et des fèresTout le monde se regarde au travers, on flippeTous, ouais, tous, d'attraper la misèreY'a des gosses et des mères, des kai***oks, des garces et des fèresTout le monde se regarde au travers, on flippeTous, ouais, tous, d'attraper la misèreY'a des gosses et des mères, des kai***soks, des garces et des fèresTout le monde se regarde au travers, on flippeTous, ouais, tous, d'attraper la misèreLa haine, c'est un pérêt dans l'étéC'est trop facile à nauflerÀ consommer l'oxygène, tout va sauter au moins d'un coup d'nerfLa haine, c'est un pérêt dans l'étéC'est trop facile à nauflerÀ consommer l'oxygène, tout va sauter au moins d'un coup d'nerfTout va sauter au moins d'un coup d'nerfS.Q.S.BananeS.Q.S.BananeS.Q.SBangBananeBananeSous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org