Les cheveux trempés de sueurUne balle tirée dans le dosAs-tu seulement vu ton tueurA OrlandoTrouver refuge dans les toilettesUn dernier je t'aime par textoPuis le bruit de la mitrailletteA OrlandoLes gyrophares en long cortègeLes sirènes comme un sanglotEt cet interminable siègeA OrlandoC'est juste des gens qui s'embrassentQui boivent un ou deux verres de tropEt vont danser devant des glacesA OrlandoC'est juste des gens qui s'embrassentMais pour certains c'est déjà tropEt c'est ainsi que l'on trépasseA OrlandoC'est le sale dégoût des autresCes dieux brandis par des idiotsNe peut-on vivre côte à côteA OrlandoInfiniteJe pense à vous de mon exilJe pense à vous de mon pianoElle ressembla aussi ma ville à OrlandoJ'espère que la terre vous est douceQu'elle vous console, qu'elle vous tient chaudJ'espère qu'un peu de fleurs y poussent à Orlando