Les jours défilent et se ressemblent encore
En mode automatique, amour mécanique
Les histoires piles s'empilent et se figent
On se perd dans la danse des sables mouvants
On répare nos vies en plastique
On penche mais on connaît la musique
On sait ce que nos cœurs en courent
Pour tout, on refait bien à tout
On oublie le reste, tout ce temps qui nous laisse
Il se mord de tout, de nous-mêmes, de l'essentiel
Et on oublie le reste, tout ce temps qui nous laisse
Qu'est-ce qui fait tourner le monde plus fort que nos gènes ?
On oublie le reste
Et on oublie le reste
On oublie le reste
On s'aime en boucle, on se colle, on se quitte
En mode anatomique, amour héroïque
Nos histoires piles s'empilent, on équilibre
On survol nos espaces trop bas du plafond
On répare nos vies en plastique
On penche mais on connaît la musique
On cesse ? On sait ce que nos cœurs en courent
Pour tout, on refait bien à tout
On oublie le reste, tout ce temps qui nous laisse
Il se mord de tout, de nous-mêmes, de l'essentiel
Et on oublie le reste, tout ce temps qui nous laisse
Qu'est-ce qui fait tourner le monde plus fort que nos gènes ?
On oublie le reste
ibo
Et on oublie le reste
On oublie le reste
Juste une acamie, de l'idivresse
Juste une éclatie, un manque de paresse
Juste une acamie, de l'idivresse
Juste une éclatie
On oublie le reste, ce temps qui nous laisse
Il se monte autour de nous, même de l'essentiel
Et on oublie le reste, ce temps qui nous laisse
Qu'est-ce qui fait tourner le monde plus fort que nos gènes ?
On oublie le reste
Et on oublie le reste
Et on oublie le reste
On oublie le reste