J'aimais jouer ta cavalièreDe carrosses en caressesTon otage des nuits entièresL'amour comme une guerre de tendresseOublier les matins mauvesNos cœurs qu'ont des articulesÀ se déchirer comme des fauvesJusqu'au rayon du crépusculeNous sommes des nostalgiques d'hierQui dansent aux balles perduesDes prisonniers de guerreDes animaux éperdusDes amants sans frontièresQui se débrouillentComme des boussoles dans ces ruesD'imprudence, de mystèreC'est fou qu'ramonce et plueJ'aimais être ton amanteDans deux longues croisièresPas de celle qui se lamenteLes regrets au cimetièrePour le meilleur et pour le pireTout ne dure qu'un tempsPour laisser place aux soupirsAux souvenirs de nos vingt ansNous sommes des nostalgiques d'hierQui dansent aux balles perduesDes prisonniers de guerreDes animaux éperdusDes amants sans frontièresQui se débrouillentComme des boussoles dans ces ruesD'imprudence, de mystèreC'est fou qu'ramonce et plueNe recommençons plusNe recommençons plusC'est fou qu'ramonce et plueNe recommençons plusNous sommes des nostalgiques d'hierQui dansent aux balles perduesDes prisonniers de guerreDes animaux éperdusDes amants sans frontièresQui se débrouillentComme des boussoles dans ces ruesD'imprudence, de mystèreC'est fou qu'ramonce et plueNe recommençons plusNous sommes des nostalgiques d'hierQui dansent aux balles perduesDes amants sans frontièresQui dansent aux balles perdues