Mon aquarium, c'est pas du barnum
J'vois tes grands airs, de diamantères
T'as plus d'mystères
Comme tu as changé
T'es pas plus beau du dehors
Moi comme j't'aimais
Tu faisais la planche sur le dos
De voir tout m'oublier
Le monde déshabitiste où l'être
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh
Les tragiques m'y mettent
Ouh, ouh, ouh
J'avais un joyau de plus doux
Au creux d'une ombre
Il me met nue en dessous
Moi mes splendeurs
Sont celles du cœur
Ta mode sans mur
Le joli pur
Son style perdure
Comme tu as changé
Comme tu as changé
Ta poésie a pris l'eau
Viens comme tu es
Viens comme tu es
Les emparures, c'est plus chaud sur mon île
Les amethysts, mille mètres
Les clavichics, mille mètres
Vous, déjà l'état joyeux, il n'y a plus d'eau
Au creux du nombril, mille lèvres, mille morts en dessous
Les amethysts, mille mètres
Les clavichics, mille mètres
Les clavichics, mille mètres
Vous, déjà l'état joyeux, il n'y a plus d'eau
Au creux du nombril, mille lèvres, mille morts en dessous
Les amethysts, mille mètres
Vous, déjà l'état joyeux, il n'y a plus d'eau
Au creux du nombril, mille lèvres, mille morts en dessous
Les amethysts, mille mètres
Les clavichics, mille mètres
Les clavichics, mille mètres