Les parois de ma vie s'enlisent
Je m'y accroche mais je glisse
Lentement vers ma destinée
Mourir d'aimer
Tandis que le monde me juge
Je ne vois pour moi qu'un refuge
Tout qui s'est m'étant condamné
Mourir d'aimer
Mourir d'aimer
Mourir d'aimer
Payer de plein gré sans foncer dans la nuit
Payer l'amour au prix de sa vie
Payer contre le corps mais non contre l'esprit
Mais sans le monde à ses problèmes
Les gens aident face à eux-mêmes
Avec leurs petites idées
Mourir d'aimer
Puisque notre amour n'est pas libre
Il vaut temps refermer le livre
Plutôt que de le brûler
Mourir l'aimer, partir en redressant la tête, sortir vainqueur d'une défaite, renverser toutes les données, mourir l'aimer, mourir l'aimer.
Comme on ne peut de n'importe quoi, abandonner tout derrière soi, pour n'embander que ce qui fut nous, qui fut toi.
Tu es le printemps, moi l'automne, ton cœur se prend le mien, se donne.
Ma route est déjà tracée, mourir l'aimer, mourir l'aimer, mourir l'aimer.
T'aimer, t'aimer.
Sous-titres par Jérémy Diaz