Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
J'ai remarqué que j'ai remis mon vieux complet.
Quand je *** le vieux, ce n'est pas tout à fait le vieux.
Le vieux était vraiment trop trop vieux.
Il était un peu lustré, alors j'ai été me faire un vieux neuf, ou un neuf vieux, vous préférez.
J'étais chez mon tailleur de l'époque, je lui ai ***, voilà, tu vas me refaire un complet comme j'en avais un,
il y a 18 ou 20 ans.
J'ai connu faire plaisir, il m'a ***, non, non, pas du tout, il était très vexé, il m'a ***, non, ça, il n'avait pas question.
J'ai une coupe nouvelle, il m'a ***, j'ai une clientèle qui me suit, tu comprends ?
Si je te fais un complet comme à l'époque, on va dire que je suis démodé, je n'y tiens absolument pas,
je suis un couturier à la mode, moi.
Je lui ai ***, bon, fais-moi un quand même, j'ai ***, j'en ai besoin, personne d'autre ne sait faire cette coupe.
Alors il m'a ***, bon, d'accord, je te le fais, mais à une con***ion, c'était vraiment, tu ne le *** à personne,
moi, je ne mets pas ma griffe dans le complet.
Alors, comme ça, personne ne le saura.
Alors j'ai mon complet, qui naturellement a été fait par tête lapidus,
ça ne sortira pas d'ici,
à part que c'est enregistré, enfin, ça c'est une autre histoire.
Puis alors, j'ai mis des talons plats.
Ça fait curieux de dire ça, mais maintenant, vous avez remarqué, les hommes ont des talons,
des semelles compensées, des talons, on a l'impression qu'ils sont jetés en avant,
on ne sait pas exactement, et moi aussi, d'ailleurs, j'ai la même chose.
Puis je me suis fait couper les cheveux,
genre 54-55.
Ça, c'est par coquetterie, je vous l'avoue, franchement, c'est par coquetterie,
parce qu'on m'a ***, si tu te fais couper les cheveux, ça rajeunit.
Et comme tout de même, je n'avais pas le temps, je n'avais pas le temps,
Bruno coquetterie, il ne me laissait pas le temps nécessaire pour aller me faire tirer la peau,
j'ai pensé qu'il était plus pratique de se faire couper les cheveux, et que c'était tout de même moins douloureux.
Alors, on va faire un petit tour dans le monde, dans mon monde à moi de cette époque,
et je vais vous chanter, entre autres,
une chanson qui, à l'époque, était inter***e à peu près sur toutes les ondes françaises et périphériques.
On ne pouvait pas la chanter.
Là, on ***ait, alors il a été un peu loin,
« Oh là là, il est douflé, est-ce que vous, comment peut-il écrire une chanson pareille ?
Il y a des enfants, elle écoute, on n'a pas le droit. »
Enfin, moi, je les écrivais quand même, les enfants achetaient le ***que,
les parents les confisquaient, parce que les enfants n'avaient pas le droit, ils n'avaient pas l'âge,
et c'est les parents qui écoutaient le ***que que les enfants avaient acheté.
Ça se passe tout à fait.
C'est à l'envers maintenant.
Il faut dire que dans le genre de chansons que j'écrivais à l'époque,
c'était mon espèce d'érotisme à moi,
ma pornographie, comme on osait dire à l'époque,
était une pornographie pour contes de fées,
comparée à ce qu'on entend aujourd'hui.
J'ai un petit peu l'impression...
Quand je relis ces chansons, j'ai un petit peu l'impression
que j'étais une sorte de petit Lord Fauntleroy.
Jugez-en vous-même, d'ailleurs.
Après l'amour.