Chéri, tu n'es pas un poète, et tu traduis ton sentiment avec deux petits mots tout bêtes. Mais comme tu *** très gentiment, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. Cela suffit pour que je fonde, mon coeur s'affole et fait des dons. Et que veux-tu que je réponde, je te re*** sur tous les tons, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. Roméo l'a *** à Juliette, et Féléas à Mélisande. Et je crois bien qu'en tête-à-tête, Chopin ***ait à George Sand, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. Quand notre amour part en balade, à Saint-Tropez comme un bachat. Tu m'offres un verre à l'esquinade, et tu fredonnes en tcha-tcha-tcha, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. En sorceler par la rythmique, nous dansons jusqu'au chant du coq. Alors tu deviens romantique, et tu cries sur un net de rock, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. Mais pour me prouver que tu m'aimes, il te suffit de m'embrasser. Le plus beau de tous les poèmes ne vaut pas deux corps enlacés, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. C'est la plus jolie des musiques, et moi jusqu'à la fin des jours, je veux chanter comme un cantique, pour toi tout seul et pour toujours, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour, mon amour. Mon amour.