Ma beauté statique,
je t'écrirai
des cantiques.
Pauvée
que t'ondes d'un statut
de mon dessein,
Ta grâce distante me laisse ennuyétante.
Jeune mirage convoité
me se laisse prédater.
Une enfant,
si peu tendre, glacienne, tant que j'en tremble.
Elle saurait vous surprendre, n'est rien,
n'est rien,
n'est rien de ce qu'elle semble.
Ta poignée frêle,
si infime soutient,
mène à son mère au contact,
au contact,
au contact,
au contact des tiens,
au contact des tiens.
Permets-moi
de t'apprivoiser,
délivre ton tassi,
ta corps,
par quelques dialectoses.
Je te guiderai vers mon or,
vers mon or,
vers mon or.
Je te guiderai vers mon or.
À moins
qu'attrapé, tu t'offres futile,
tu m'enverrais désabusé,
trompé par l'odeur volatile des jeunes fraîcheurs diffusés.
Ou bien que voilé dans ta pudeur,
je n'ai plus compté les heures passées à te désirer.
Mon humeur,
sois lassé,
mon humeur,
sois lassé.
Permets-moi de t'apprivoiser,
délivre ton tassi, ta corps,
par quelques dialectoses.
Je te guiderai vers mon or,
vers mon or,
vers mon or.
Je te guiderai vers mon or.